A cet effet, de 9 h à 19 h, les habitants de la ville des lumières sont appelés, dimanche 26 septembre 2021, à se passer de leur voiture et déserter les artères de Rabat, pour un dimanche r’bati sans Essence ou Diesel. La journée sans voitures se veut une initiative bien accueillie par les citoyens.
Après une semaine de pollution et de nuisances générées par le trafic motorisé croissant, le dimanche est une occasion pour une marche à pied ou seulement une journée pour profiter autrement des rues de Rabat. Aussi traumatisant qu’il puisse paraître, le nombre de voitures en circulation pourrait doubler d’ici 2040 ! À l’échelle mondiale, les transports représentent un quart des émissions totales – soit 8 gigatonnes par an, selon le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC). En plus, est estimé à plus d’un milliard le nombre de voitures particulières qui parcourent les rues et les routes du monde.
Au Maroc, comme ailleurs, le nombre de véhicules ne cesse d’augmenter et la question prend de plus en plus d’allure. Face à ces données majeures, l’on constate l’urgence de prendre des mesures immédiates.
A l’occasion de cette journée, c’est toute la ville qui sera réservée aux circulations non polluantes : voitures électriques, véhicules de secours, bicyclettes, trottinettes, Skateboard peuvent être ainsi empruntés… Un événement qui favorise la prise de conscience collective sur les impacts néfastes et polluants de l’utilisation de la voiture sur la santé et l’environnement des citadins.
Selon l’association, cette initiative a contribué au rayonnement de la ville de Rabat, capitale des lumières, ce grand chantier qui donne une place de choix à l’amélioration de la qualité de l’air et la création de plus d’espaces verts.
De surcroît, cette 4ème édition a pour objectif de sensibiliser les citoyens à utiliser les voitures électriques et hybrides, et de démontrer l’engagement du Royaume dans la stratégie mondiale pour réduire l’émission de CO2… Pour rappel, l’Association des jeunes du 21ème siècle s’inscrit pleinement dans la dynamique enclenchée par le Royaume du Maroc, qui est celle d’atténuer les problématiques des changements climatiques depuis 2016.
Après une semaine de pollution et de nuisances générées par le trafic motorisé croissant, le dimanche est une occasion pour une marche à pied ou seulement une journée pour profiter autrement des rues de Rabat. Aussi traumatisant qu’il puisse paraître, le nombre de voitures en circulation pourrait doubler d’ici 2040 ! À l’échelle mondiale, les transports représentent un quart des émissions totales – soit 8 gigatonnes par an, selon le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC). En plus, est estimé à plus d’un milliard le nombre de voitures particulières qui parcourent les rues et les routes du monde.
Au Maroc, comme ailleurs, le nombre de véhicules ne cesse d’augmenter et la question prend de plus en plus d’allure. Face à ces données majeures, l’on constate l’urgence de prendre des mesures immédiates.
A l’occasion de cette journée, c’est toute la ville qui sera réservée aux circulations non polluantes : voitures électriques, véhicules de secours, bicyclettes, trottinettes, Skateboard peuvent être ainsi empruntés… Un événement qui favorise la prise de conscience collective sur les impacts néfastes et polluants de l’utilisation de la voiture sur la santé et l’environnement des citadins.
Selon l’association, cette initiative a contribué au rayonnement de la ville de Rabat, capitale des lumières, ce grand chantier qui donne une place de choix à l’amélioration de la qualité de l’air et la création de plus d’espaces verts.
De surcroît, cette 4ème édition a pour objectif de sensibiliser les citoyens à utiliser les voitures électriques et hybrides, et de démontrer l’engagement du Royaume dans la stratégie mondiale pour réduire l’émission de CO2… Pour rappel, l’Association des jeunes du 21ème siècle s’inscrit pleinement dans la dynamique enclenchée par le Royaume du Maroc, qui est celle d’atténuer les problématiques des changements climatiques depuis 2016.
Sara AMLAL
Reconquête de l’espace urbain
En ville, beaucoup se plaignent d’une mauvaise qualité de l’air, d’un embouteillage stressant, d’encombrements… Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent. Face à ce constat, la journée sans voitures ou encore appelée Dimanches sans voiture vient au monde pour la première fois en 1966, au niveau européen, plus précisément en Islande. Mais ce n’est pas tout puisque son champ s’est élargi pour une Semaine européenne de la mobilité en 2002. Dès lors, plusieurs pays adoptent cette initiative et expérimentent une journée de fermeture de la ville aux voitures, qui n’est autre qu’une reconquête de l’espace urbain par les piétons, les cyclistes et les transports en commun.