L’événement, organisé par la Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), en partenariat avec l'association Littératures itinérantes, s'inscrit dans le cadre du programme concocté par cette institution en célébration de la Journée mondiale du livre et des droits d'auteur (23 avril).
Dans une déclaration à la presse, Abdelkader Chaoui a souligné que ce fut une opportunité pour présenter des passages de son roman et interagir avec les pensionnaires de la prison locale de Kénitra et de 10 autres établissements pénitentiaires, du fait que la rencontre était retransmise dans plusieurs prisons du Royaume via un webinaire.
« La rôle de la culture en milieu carcéral ne se limite pas au développement des connaissances des prisonniers, mais elle constitue un maillon d’aide à la réinsertion au sein de la société », a-t-il soutenu.
De son côté, le chef de la division de qualification et d’action éducative et sociale des détenus à la DGAPR, Benaissa Bennacer, a indiqué que cette rencontre s’inscrit dans le cadre du programme des cafés culturels des établissements pénitentiaires, lancé à Kénitra en 2017.
En capitalisant le succès dudit programme, qui permet aux détenus de rencontrer des écrivains, des intellectuels et des artistes, l'expérience a été généralisée pour concerner 10 autres prisons, a-t-il relaté.
A l’occasion de la Journée mondiale du livre et des droits d'auteurs, plusieurs activités culturelles en relation avec le livre et la littérature ont été organisés au niveau d'autres établissements pénitentiaires, a-t-il poursuivi.
« La construction de l’humain passe essentiellement par un travail de rééducation et le développement de ses connaissances », a confié l'un des prisonniers participant au café littéraire, se félicitant de la tenue de ce genre d'activités leur permettant de côtoyer d'éminents écrivains et intellectuels et représentant « une fenêtre par laquelle ils respirent le parfum de la littérature et du savoir ».
« Nous sommes heureux d’accueillir M. Abdelkader Chaoui, l’une des figures de la littérature carcérale », a renchéri un autre détenu, remerciant l'écrivain de s'être déplacé pour partager son expérience littéraire avec les prisonniers assoiffés de culture.
Modérée par la professeure Sanae Ghouati, la rencontre a été marquée par la présence notamment de Nadia Essalmi, présidente de l'Association Littératures itinérantes, Driss El Yazami membre de la même association, l'écrivaine Amina Achour, le conseiller du chef du gouvernement Hassan Dabchy et le directeur de l'action socio-culturelle au profit des détenus et de la réinsertion au sein de la DGAPR, Moulay Driss Aguelmam.
(Avec MAP)
Dans une déclaration à la presse, Abdelkader Chaoui a souligné que ce fut une opportunité pour présenter des passages de son roman et interagir avec les pensionnaires de la prison locale de Kénitra et de 10 autres établissements pénitentiaires, du fait que la rencontre était retransmise dans plusieurs prisons du Royaume via un webinaire.
« La rôle de la culture en milieu carcéral ne se limite pas au développement des connaissances des prisonniers, mais elle constitue un maillon d’aide à la réinsertion au sein de la société », a-t-il soutenu.
De son côté, le chef de la division de qualification et d’action éducative et sociale des détenus à la DGAPR, Benaissa Bennacer, a indiqué que cette rencontre s’inscrit dans le cadre du programme des cafés culturels des établissements pénitentiaires, lancé à Kénitra en 2017.
En capitalisant le succès dudit programme, qui permet aux détenus de rencontrer des écrivains, des intellectuels et des artistes, l'expérience a été généralisée pour concerner 10 autres prisons, a-t-il relaté.
A l’occasion de la Journée mondiale du livre et des droits d'auteurs, plusieurs activités culturelles en relation avec le livre et la littérature ont été organisés au niveau d'autres établissements pénitentiaires, a-t-il poursuivi.
« La construction de l’humain passe essentiellement par un travail de rééducation et le développement de ses connaissances », a confié l'un des prisonniers participant au café littéraire, se félicitant de la tenue de ce genre d'activités leur permettant de côtoyer d'éminents écrivains et intellectuels et représentant « une fenêtre par laquelle ils respirent le parfum de la littérature et du savoir ».
« Nous sommes heureux d’accueillir M. Abdelkader Chaoui, l’une des figures de la littérature carcérale », a renchéri un autre détenu, remerciant l'écrivain de s'être déplacé pour partager son expérience littéraire avec les prisonniers assoiffés de culture.
Modérée par la professeure Sanae Ghouati, la rencontre a été marquée par la présence notamment de Nadia Essalmi, présidente de l'Association Littératures itinérantes, Driss El Yazami membre de la même association, l'écrivaine Amina Achour, le conseiller du chef du gouvernement Hassan Dabchy et le directeur de l'action socio-culturelle au profit des détenus et de la réinsertion au sein de la DGAPR, Moulay Driss Aguelmam.
(Avec MAP)