Après de longues concertations entre diverses associations environnementales, le gouverneur de la province a décidé de prendre des mesures pour faire face au problème de la poussière noire. Mohamed Benikhlef, expert en environnement et changement climatique, a indiqué que le responsable de la wilaya a décidé, à l’issue d’une réunion à la centrale syndicale de la ville, ayant eu lieu mercredi 24 août, d’« activer le comité permanent de suivi de l’air qualité ».
Benikhlef a ajouté, dans une déclaration à la presse, que la réunion, qui était présidée par le gouverneur de la province de Kénitra, a réuni tous les concernés par cette problématique, y compris les responsables de la centrale thermique, le directeur régional du secteur de l’Environnement et le délégué régional du ministère de la Santé et de la Protection sociale, ainsi que les acteurs communautaires et les associations environnementales.
La réunion a abouti à « l’ajout de stations pour surveiller et mesurer la qualité de l’air dans la ville, et travailler à la création d’un écran électronique géant pour informer et avertir les habitants chaque fois que nécessaire, ou s’il y a une pollution qui franchit un certain seuil », explique la même source.
L’expert dans le domaine de l’environnement a expliqué que « le polluant le plus important dans cette poussière noire réside dans les petites particules en suspension dans l’air, appelées PM10, d’un diamètre inférieur à 10 micromètres, qui sont considérées comme des substances cancérigènes, selon le Centre international des maladies cancéreuses ».
Benikhlef a ajouté, dans une déclaration à la presse, que la réunion, qui était présidée par le gouverneur de la province de Kénitra, a réuni tous les concernés par cette problématique, y compris les responsables de la centrale thermique, le directeur régional du secteur de l’Environnement et le délégué régional du ministère de la Santé et de la Protection sociale, ainsi que les acteurs communautaires et les associations environnementales.
La réunion a abouti à « l’ajout de stations pour surveiller et mesurer la qualité de l’air dans la ville, et travailler à la création d’un écran électronique géant pour informer et avertir les habitants chaque fois que nécessaire, ou s’il y a une pollution qui franchit un certain seuil », explique la même source.
L’expert dans le domaine de l’environnement a expliqué que « le polluant le plus important dans cette poussière noire réside dans les petites particules en suspension dans l’air, appelées PM10, d’un diamètre inférieur à 10 micromètres, qui sont considérées comme des substances cancérigènes, selon le Centre international des maladies cancéreuses ».