Dominé par de grandes collines verdoyantes, atteignant les 500 mètres d’altitude et s’étendant sur près de 96 ha, le lac Daït Erroumi constitue un biotope important et l’un des plus beaux sites naturels touristiques au Maroc. Sa profondeur est de 94m. Il constitue un biotope important et l’un des plus beaux sites naturels au Maroc.
Par ailleurs, précise une source provinciale du ministère du Tourisme, ce lac n’est pas l’unique richesse de cette zone. Khémisset possède en effet tous les atouts pour devenir une destination écologique de premier ordre. Sa forêt immense et ses paysages naturels représentent autant de potentialité à développer et à valoriser, rapporte la même source.
Il va sans dire aussi que la création du village de vacances à Dait Roumi, est un projet de nature à promouvoir le tourisme écologique dans la Région et par conséquent d’avoir des retombées bénéfiques sur les habitants. Ce projet comporte « l’animation et restauration », « l’hébergement » et « l’animation sportive ».
La partie « animation et restauration » comprendra un restaurant, un jardin, une piscine, un club équestre et un espace de jeux pour enfant. La partie « hébergement » comprend, quant à elle, un hôtel de 24 chambres à deux lits (soit 48 lits), cinq suites de 20 chambres et 16 bungalows. Ce village de vacances offre une capacité d’hébergement de 173 lits. Pour ce qui est de la partie réservée à « l’animation sportive », elle comprend notamment quatre courts de tennis, une zone pour les sports nautiques. Et pour offrir aux amateurs des sports les meilleures conditions de séjour, des randonnées à VTT ou à cheval seront organisées ainsi que des parties de pêche et de chasse.
Cependant, estiment des observateurs avertis, le développement de cette région passe par des projets touristiques pareils. Les autorités locales et les opérateurs privées semblent l’avoir compris.
D’autre part, rapportent les mêmes sources, pour contribuer à la préservation de ce genre d’investissement, il faut appuyer l’effort éducatif national par une sensibilisation aux problèmes de la préservation de la nature. S’il est toujours difficile de modifier les habitudes et les pratiques séculaires des personnes d’un certain âge, il est par contre plus aisé de sensibiliser l’enfant et de lui apprendre les principes «écologiques» qui forgeront utilement sa conscience. Les programmes scolaires ne sont guère explicites sur les problématiques écologiques, des actions complémentaires sont donc nécessaires, en premier lieu dans les régions devant héberger un parc ou une réserve.
Par ailleurs, précise une source provinciale du ministère du Tourisme, ce lac n’est pas l’unique richesse de cette zone. Khémisset possède en effet tous les atouts pour devenir une destination écologique de premier ordre. Sa forêt immense et ses paysages naturels représentent autant de potentialité à développer et à valoriser, rapporte la même source.
Il va sans dire aussi que la création du village de vacances à Dait Roumi, est un projet de nature à promouvoir le tourisme écologique dans la Région et par conséquent d’avoir des retombées bénéfiques sur les habitants. Ce projet comporte « l’animation et restauration », « l’hébergement » et « l’animation sportive ».
La partie « animation et restauration » comprendra un restaurant, un jardin, une piscine, un club équestre et un espace de jeux pour enfant. La partie « hébergement » comprend, quant à elle, un hôtel de 24 chambres à deux lits (soit 48 lits), cinq suites de 20 chambres et 16 bungalows. Ce village de vacances offre une capacité d’hébergement de 173 lits. Pour ce qui est de la partie réservée à « l’animation sportive », elle comprend notamment quatre courts de tennis, une zone pour les sports nautiques. Et pour offrir aux amateurs des sports les meilleures conditions de séjour, des randonnées à VTT ou à cheval seront organisées ainsi que des parties de pêche et de chasse.
Cependant, estiment des observateurs avertis, le développement de cette région passe par des projets touristiques pareils. Les autorités locales et les opérateurs privées semblent l’avoir compris.
D’autre part, rapportent les mêmes sources, pour contribuer à la préservation de ce genre d’investissement, il faut appuyer l’effort éducatif national par une sensibilisation aux problèmes de la préservation de la nature. S’il est toujours difficile de modifier les habitudes et les pratiques séculaires des personnes d’un certain âge, il est par contre plus aisé de sensibiliser l’enfant et de lui apprendre les principes «écologiques» qui forgeront utilement sa conscience. Les programmes scolaires ne sont guère explicites sur les problématiques écologiques, des actions complémentaires sont donc nécessaires, en premier lieu dans les régions devant héberger un parc ou une réserve.
Mohamed LOKHNATI