Le festival du cinéma africain a converti la ville à vocation minière en carrefour africain où on visionne, on aime et on débat d’un cinéma appelé à donner un coup d’aiguillon au combat titanesque face au gigantisme du cinéma hollywoodien.
A ces fins, a été fondée la Rencontre du Cinéma Africain à Khouribga en 1977 par l’ACK (OCP) et la Fédération Nationale des Ciné-clubs au Maroc et depuis se sont succédées respectivement les éditions. Et grâce aux efforts déployés dans l’esprit de donner une plus grande dimension à ce festival cinématographique, l’édition de 2002 a bénéficié du Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. A noter aussi que le festival a tissé des relations artistiques, culturelles et techniques avec d’autres festivals dans le cadre d’un partenariat ouvert et constant dont le Festival d’Ouagadougou (Burkina Fasso) à titre d’exemple.
Et d’édition en édition, le FCAK s’esquisse un profil nouveau et se fraye un itinéraire plus fructueux dans le paysage audio-visuel africain. Pour sa 22ème édition, le FICAK ouvrira ses écrans dans le deuil de la disparition de feu Noureddine Sail, fondateur et alter égo du FICAK. Cette édition rendra un hommage posthume à Nour Eddine Saïl, l’ancien président de la FFCAK et également à deux grandes figures du cinéma africain : le Délégué Général du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (Fespaco), Soma Ardiouma, et le comédien et réalisateur marocain, Mohamed Choubi.
Deux thèmes seront abordés lors du coutumier colloque : les financements de la production cinématographique en Afrique et l’intégration des migrants africains. Voici par ailleurs les grands axes du programme filmique de l’édition :
A ces fins, a été fondée la Rencontre du Cinéma Africain à Khouribga en 1977 par l’ACK (OCP) et la Fédération Nationale des Ciné-clubs au Maroc et depuis se sont succédées respectivement les éditions. Et grâce aux efforts déployés dans l’esprit de donner une plus grande dimension à ce festival cinématographique, l’édition de 2002 a bénéficié du Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. A noter aussi que le festival a tissé des relations artistiques, culturelles et techniques avec d’autres festivals dans le cadre d’un partenariat ouvert et constant dont le Festival d’Ouagadougou (Burkina Fasso) à titre d’exemple.
Et d’édition en édition, le FCAK s’esquisse un profil nouveau et se fraye un itinéraire plus fructueux dans le paysage audio-visuel africain. Pour sa 22ème édition, le FICAK ouvrira ses écrans dans le deuil de la disparition de feu Noureddine Sail, fondateur et alter égo du FICAK. Cette édition rendra un hommage posthume à Nour Eddine Saïl, l’ancien président de la FFCAK et également à deux grandes figures du cinéma africain : le Délégué Général du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (Fespaco), Soma Ardiouma, et le comédien et réalisateur marocain, Mohamed Choubi.
Deux thèmes seront abordés lors du coutumier colloque : les financements de la production cinématographique en Afrique et l’intégration des migrants africains. Voici par ailleurs les grands axes du programme filmique de l’édition :
- 13 Films de fiction en compétition dont 2 productions marocaines
- « Mami Watta » de Christian Thiam (Sénégal)
- « Oliver Black » de Tawfik Baba ( Maroc)
- « Maria Kristu » de Paul.S. Wilo (Zambie)
- « A tast of our land » de Yuhi Amuli (Rwanda)
- « The white line » de Desiree Kahikopo (Namibie)
- « La nuit des rois » de Philippe Lacôte (Cote d’Ivoire)
- « Bendskins » de Narcisse Wandji (Cameroun)
- « Massoudi » d’ Emmanuel de Rotoubam Mbaidé ( Burkina Faso)
- « In 2, Talaat Harb » de Magdi Ahmed Ali (Egypte)
- « J’irai au diable » de Ismahane Lahmar (Tunisie)
- « Lingui, les relations sacrés » de Mahamat Saleh Haroun (Tchad)
- « Automne des pommiers » de Mohamed Mouftakir (Maroc)
- « Argu, rêve » d’Omar Belkacemi (Algérie)
- « Oliver Black » de Tawfik Baba ( Maroc)
- « Maria Kristu » de Paul.S. Wilo (Zambie)
- « A tast of our land » de Yuhi Amuli (Rwanda)
- « The white line » de Desiree Kahikopo (Namibie)
- « La nuit des rois » de Philippe Lacôte (Cote d’Ivoire)
- « Bendskins » de Narcisse Wandji (Cameroun)
- « Massoudi » d’ Emmanuel de Rotoubam Mbaidé ( Burkina Faso)
- « In 2, Talaat Harb » de Magdi Ahmed Ali (Egypte)
- « J’irai au diable » de Ismahane Lahmar (Tunisie)
- « Lingui, les relations sacrés » de Mahamat Saleh Haroun (Tchad)
- « Automne des pommiers » de Mohamed Mouftakir (Maroc)
- « Argu, rêve » d’Omar Belkacemi (Algérie)
- 8 films documentaires en compétition
- « Dans la maison » de Karima Saïdi (Maroc)
- « The letter » de Maria Lekou et Christopher King (Kenya)
- « Garderie nocturne » de Moumouni Sanou (Burkina Faso)
- « Marcher sur l’eau » de Aïssa Maïga ( Niger)
- « When a farm goes aflame Jide » de Tom Akinleminu (Nigeria)
- « Zabou, étoile des sables » d’ Abdoulaye Ascofaré (Mali)
- « From Meir, to Meir » de Maggie Morgan (Egypte)
- « Broken Mirrors » d’ Othmane Saâdouni (Maroc)
Ainsi, la capitale du phosphate vit du 28 au 4 juin 2022 au rythme du cinéma continental et il est indubitable que l’ambiance charmera tous nos invités africains.
- « The letter » de Maria Lekou et Christopher King (Kenya)
- « Garderie nocturne » de Moumouni Sanou (Burkina Faso)
- « Marcher sur l’eau » de Aïssa Maïga ( Niger)
- « When a farm goes aflame Jide » de Tom Akinleminu (Nigeria)
- « Zabou, étoile des sables » d’ Abdoulaye Ascofaré (Mali)
- « From Meir, to Meir » de Maggie Morgan (Egypte)
- « Broken Mirrors » d’ Othmane Saâdouni (Maroc)
Ainsi, la capitale du phosphate vit du 28 au 4 juin 2022 au rythme du cinéma continental et il est indubitable que l’ambiance charmera tous nos invités africains.
ELAZHAR