Le prix de l’opération a été fixé à 5,48 milliards de dirhams coupon Marsa Maroc 2020 attaché (voir pièce jointe). Cette opération est soumise à la levée de certaines conditions suspensives réglementaires et sera réalisée sur le marché de blocs, ajoute Marsa Maroc.
L’Etat conservera une détention directe de 25% du capital social et des droits de vote de Marsa Maroc, précise le communiqué, ajoutant que cette opération s’inscrit dans le cadre des Hautes Orientations Royales relatives à la réforme du secteur public.
L’Etat poursuit ainsi sa politique d’accompagnement des différents secteurs stratégiques identifiés, notamment à travers les entreprises publiques qu’il contrôle. Tanger Med et Marsa Maroc, tout en gardant leur indépendance, mettrons en œuvre un partenariat stratégique qui permettra à ces dernières de développer des synergies sectorielles et au Royaume de disposer d’un ensemble fort, à même de relever les défis logistiques de l’économie nationale, affirme Marsa Maroc.
L’ensemble constitué pourra ainsi mieux accompagner les industriels, les importateurs et les exportateurs marocains, avec une offre de service plus performante et compétitive, dans un contexte de reconfiguration dynamique des corridors logistiques internationaux.
Il est à noter que le Maroc vise à instaurer une nouvelle dynamique au secteur public, à travers la restructuration et repositionnement des des établissements et entreprises publics (EEP) dans une perspective de renforcer leur contribution efficace dans les chantiers de réforme lancés par SM le Roi, notamment le plan ambitieux de relance économique et la généralisation de la couverture sociale.
Un chantier ambitieux qui passe par la mise en place d’un programme de restructuration des EEP via leur regroupement, fusion, dissolution, voire leur liquidation pure et simple, une étape qui sera suivie par la création de nouvelles EEP et leurs participations à venir dans le capital d’entreprises privées. Des structures dont la contribution au Trésor public devrait s’élever en 2021 à 17.118 MDH, selon les estimations de la tutelle, ce qui représente une hausse de 16% par rapport aux prévisions publiées en 2020. En termes de chiffre d’affaires, les prévisions pour la période 2021-2023 visent 308.640 MDH.
Selon le ministère des Finances, le portefeuille public comptait, à la fin septembre 2020, 225 établissements publics opérant dans différents secteurs et 43 Sociétés Anonymes à Participation directe du Trésor (SA-PDT). L’ensemble de ces structures détiennent ainsi quelque 492 filiales et participations, dont 54% sont des participations majoritaires, là où les SA relevant des Collectivités territoriales s’établissent à 22 entreprises.
L’Etat conservera une détention directe de 25% du capital social et des droits de vote de Marsa Maroc, précise le communiqué, ajoutant que cette opération s’inscrit dans le cadre des Hautes Orientations Royales relatives à la réforme du secteur public.
L’Etat poursuit ainsi sa politique d’accompagnement des différents secteurs stratégiques identifiés, notamment à travers les entreprises publiques qu’il contrôle. Tanger Med et Marsa Maroc, tout en gardant leur indépendance, mettrons en œuvre un partenariat stratégique qui permettra à ces dernières de développer des synergies sectorielles et au Royaume de disposer d’un ensemble fort, à même de relever les défis logistiques de l’économie nationale, affirme Marsa Maroc.
L’ensemble constitué pourra ainsi mieux accompagner les industriels, les importateurs et les exportateurs marocains, avec une offre de service plus performante et compétitive, dans un contexte de reconfiguration dynamique des corridors logistiques internationaux.
Il est à noter que le Maroc vise à instaurer une nouvelle dynamique au secteur public, à travers la restructuration et repositionnement des des établissements et entreprises publics (EEP) dans une perspective de renforcer leur contribution efficace dans les chantiers de réforme lancés par SM le Roi, notamment le plan ambitieux de relance économique et la généralisation de la couverture sociale.
Un chantier ambitieux qui passe par la mise en place d’un programme de restructuration des EEP via leur regroupement, fusion, dissolution, voire leur liquidation pure et simple, une étape qui sera suivie par la création de nouvelles EEP et leurs participations à venir dans le capital d’entreprises privées. Des structures dont la contribution au Trésor public devrait s’élever en 2021 à 17.118 MDH, selon les estimations de la tutelle, ce qui représente une hausse de 16% par rapport aux prévisions publiées en 2020. En termes de chiffre d’affaires, les prévisions pour la période 2021-2023 visent 308.640 MDH.
Selon le ministère des Finances, le portefeuille public comptait, à la fin septembre 2020, 225 établissements publics opérant dans différents secteurs et 43 Sociétés Anonymes à Participation directe du Trésor (SA-PDT). L’ensemble de ces structures détiennent ainsi quelque 492 filiales et participations, dont 54% sont des participations majoritaires, là où les SA relevant des Collectivités territoriales s’établissent à 22 entreprises.