« La Tunisie est un pays maghrébin avec lequel nous partageons une fraternité et une histoire communes, dont un long combat pour la liberté et l'indépendance contre le colonialisme», a indiqué le SG de l’Istiqlal, avant de marteler que ce sont «les nouveaux gouvernants de la Tunisie », et non « le peuple tunisien » qui se soient écartés de leur approche ferme et amicale envers le Maroc.
Ces représentants, qui sont désormais aux commandes de la nation, semblent avoir «soudainement renié le bon voisinage entre nos deux pays [le Maroc et la Tunisie, ndlr] et le respect mutuel des affaires respectives de chaque pays, sans ingérence ni l'auto-implication » ajoute le Chef du Parti.
Ainsi, tenant compte de cet état des choses, le Parti de l'Istiqlal ne peut que dénoncer, et avec force, ce que le Secrétaire général qualifie de «renversement flagrant de la position d'un pays frère ».
Et d’affirmer que le Parti souhaite «le rétablissement de la stabilité et le progrès vers la question de l’intégrité territoriale, et les comportements provocateurs et ostentatoires qui l'accompagnent et qui écorchent le sentiment de tous les Marocains », car «une telle position ne peut pas changer la réalité de la Marocanité du Sahara, et la crédibilité et le réalisme du schéma d'autonomie proposé par le Maroc ».
Cela dit, Nizar Baraka se désole du fait que les nouveaux dirigeants de la Tunisie se soient rangés du côté de la fragilité et de l'instabilité, contribuant à la division du Maghreb.
Ces représentants, qui sont désormais aux commandes de la nation, semblent avoir «soudainement renié le bon voisinage entre nos deux pays [le Maroc et la Tunisie, ndlr] et le respect mutuel des affaires respectives de chaque pays, sans ingérence ni l'auto-implication » ajoute le Chef du Parti.
Ainsi, tenant compte de cet état des choses, le Parti de l'Istiqlal ne peut que dénoncer, et avec force, ce que le Secrétaire général qualifie de «renversement flagrant de la position d'un pays frère ».
Et d’affirmer que le Parti souhaite «le rétablissement de la stabilité et le progrès vers la question de l’intégrité territoriale, et les comportements provocateurs et ostentatoires qui l'accompagnent et qui écorchent le sentiment de tous les Marocains », car «une telle position ne peut pas changer la réalité de la Marocanité du Sahara, et la crédibilité et le réalisme du schéma d'autonomie proposé par le Maroc ».
Cela dit, Nizar Baraka se désole du fait que les nouveaux dirigeants de la Tunisie se soient rangés du côté de la fragilité et de l'instabilité, contribuant à la division du Maghreb.