Les deux organisations onusiennes entendent s’assurer que tous les ports désignés par l’Accord sur les mesures du ressort de l’État du port (PSMA) se voient attribuer un code onusien et pour la désignation des ports. Cela garantira l’identification cohérente des lieux dans le commerce et le transport, précise un communiqué de l'ONU.
La FAO prévoit d’utiliser ce dispositif dans le Registre mondial des navires de pêche, des navires de transport frigorifique et des navires ravitailleurs, un autre outil essentiel pour lutter contre la pêche illégale et favoriser une gestion durable des pêches.
Selon la CEE-ONU, ce mécanisme permettra d’empêcher les navires pratiquant cette pêche non déclarée d’utiliser les ports et de débarquer leurs captures. Ce qui permettra de réduire également l’incitation de ces navires à opérer, car ça leur bloquera l’accès aux marchés nationaux et internationaux.
En outre, le PSMA donne aux parties le mandat d’établir un système d’échange d’informations sur les inspections portuaires avec les parties prenantes telles que les États du pavillon et les États côtiers.
Avec une production estimée à 204 millions de tonnes en 2030, la pêche illégale, non déclarée et non réglementée (INN) coûte jusqu’à 23 milliards de dollars chaque année aux pays et représente un poisson sur cinq. « Les États membres de la CEE-ONU sont confrontés à ces problèmes tant en haute mer que dans leurs zones maritimes exclusives », souligne l’Agence onusienne basée à Genève, dans un communiqué.
L’accord sur les mesures du ressort de l’État du port (en anglais: Agreement on Port State Measures, PSMA) est entré en vigueur en 2016 pour lutter contre la pêche illégale. Il s’agit du premier accord international contraignant visant à prévenir, dissuader et éliminer la pêche non déclarée, en empêchant les pêcheurs illégaux d’utiliser les ports et de débarquer leurs prises illégales.
(Avec MAP)
La FAO prévoit d’utiliser ce dispositif dans le Registre mondial des navires de pêche, des navires de transport frigorifique et des navires ravitailleurs, un autre outil essentiel pour lutter contre la pêche illégale et favoriser une gestion durable des pêches.
Selon la CEE-ONU, ce mécanisme permettra d’empêcher les navires pratiquant cette pêche non déclarée d’utiliser les ports et de débarquer leurs captures. Ce qui permettra de réduire également l’incitation de ces navires à opérer, car ça leur bloquera l’accès aux marchés nationaux et internationaux.
En outre, le PSMA donne aux parties le mandat d’établir un système d’échange d’informations sur les inspections portuaires avec les parties prenantes telles que les États du pavillon et les États côtiers.
Avec une production estimée à 204 millions de tonnes en 2030, la pêche illégale, non déclarée et non réglementée (INN) coûte jusqu’à 23 milliards de dollars chaque année aux pays et représente un poisson sur cinq. « Les États membres de la CEE-ONU sont confrontés à ces problèmes tant en haute mer que dans leurs zones maritimes exclusives », souligne l’Agence onusienne basée à Genève, dans un communiqué.
L’accord sur les mesures du ressort de l’État du port (en anglais: Agreement on Port State Measures, PSMA) est entré en vigueur en 2016 pour lutter contre la pêche illégale. Il s’agit du premier accord international contraignant visant à prévenir, dissuader et éliminer la pêche non déclarée, en empêchant les pêcheurs illégaux d’utiliser les ports et de débarquer leurs prises illégales.