Bien que les crypto-monnaies aient récompensé certains et facilité les envois de fonds, elles sont considérées comme des actifs financiers « instables » qui peuvent également entraîner des risques et des coûts sociaux.
Les notes d’orientation
La première note d'orientation « tout ce qui brille n'est pas de l'or : le coût élevé de ne pas réglementer les crypto-monnaies » examine les raisons de l'adoption rapide des crypto-monnaies dans les pays en développement, notamment en facilitant les envois de fonds et en agissant comme un tampon contre les risques de change et d'inflation.
Le rapport explique que les récents chocs sur ces monnaies numériques indiquent la présence des risques particuliers à détenir des crypto-monnaies, mais si la banque centrale intervient pour protéger la stabilité financière, le problème devient un problème général, c’est ce que détaille la deuxième note sur les implications des crypto-monnaies pour la stabilité et la sécurité des systèmes monétaires, et pour la stabilité financière en général.
« Il est avancé qu’un système de paiement numérique national qui sert de bien public pourrait répondre à au moins certaines des raisons de l’utilisation du crypto et limiter l’expansion des crypto-monnaies dans les pays en développement », a déclaré la CNUCED.
La note d’orientation finale avertit que la souveraineté monétaire des pays sera compromise si les crypto-monnaies deviennent un moyen de paiement omniprésent et remplacent de manière informelle les monnaies locales, dans le but de « saper la mobilisation des ressources intérieures » dans les pays en développement.
La situation à travers le monde
Compte tenu du risque de creusement de la fracture numérique dans les pays développés, la CNUCED a exhorté les gouvernements « à maintenir l’émission et la distribution d’espèces ».
Avec plus de 6.000 cryptomonnaies existent dans le monde, l’Inde vient en premier, suivie par les Etats Unis d’Amérique, la Russie, le Niger et le Brésil, selon les données publiées par C#Corner en octobre 2021 qui présentent le classement des pays ayant le plus grand nombre de détenteurs de cryptomonnaies.
Classé le 4ème en Afrique derrière le Nigeria, l’Afrique du Sud et le Kenya, selon les dernières données de la société de paiements cryptographiques Triple A en 2021, le Maroc travaille dernièrement sur un projet de loi visant à réglementer l'utilisation des crypto-monnaies comme annoncé par Bank Al-Maghrib (BAM).
Les notes d’orientation
La première note d'orientation « tout ce qui brille n'est pas de l'or : le coût élevé de ne pas réglementer les crypto-monnaies » examine les raisons de l'adoption rapide des crypto-monnaies dans les pays en développement, notamment en facilitant les envois de fonds et en agissant comme un tampon contre les risques de change et d'inflation.
Le rapport explique que les récents chocs sur ces monnaies numériques indiquent la présence des risques particuliers à détenir des crypto-monnaies, mais si la banque centrale intervient pour protéger la stabilité financière, le problème devient un problème général, c’est ce que détaille la deuxième note sur les implications des crypto-monnaies pour la stabilité et la sécurité des systèmes monétaires, et pour la stabilité financière en général.
« Il est avancé qu’un système de paiement numérique national qui sert de bien public pourrait répondre à au moins certaines des raisons de l’utilisation du crypto et limiter l’expansion des crypto-monnaies dans les pays en développement », a déclaré la CNUCED.
La note d’orientation finale avertit que la souveraineté monétaire des pays sera compromise si les crypto-monnaies deviennent un moyen de paiement omniprésent et remplacent de manière informelle les monnaies locales, dans le but de « saper la mobilisation des ressources intérieures » dans les pays en développement.
La situation à travers le monde
Compte tenu du risque de creusement de la fracture numérique dans les pays développés, la CNUCED a exhorté les gouvernements « à maintenir l’émission et la distribution d’espèces ».
Avec plus de 6.000 cryptomonnaies existent dans le monde, l’Inde vient en premier, suivie par les Etats Unis d’Amérique, la Russie, le Niger et le Brésil, selon les données publiées par C#Corner en octobre 2021 qui présentent le classement des pays ayant le plus grand nombre de détenteurs de cryptomonnaies.
Classé le 4ème en Afrique derrière le Nigeria, l’Afrique du Sud et le Kenya, selon les dernières données de la société de paiements cryptographiques Triple A en 2021, le Maroc travaille dernièrement sur un projet de loi visant à réglementer l'utilisation des crypto-monnaies comme annoncé par Bank Al-Maghrib (BAM).