Alors que les compteurs Covid au Maroc continuent dans leur tendance haussière alarmante, à la veille de la rentrée scolaire, les autorités sanitaires multiplient les actions de communication pour lutter contre le scepticisme des parents et les inciter à vacciner leurs enfants, dans l’ambition d’assurer une rentrée sans risques. Il est vrai que les personnes âgées entre 12 et 17 ans encourent moins le risque de développer une forme sévère de la maladie, mais, néanmoins, elles restent la clé pour atteindre l’immunité collective et donc un semblant de vie normale.
Comme partout dans le monde, actuellement, des parents de tous bords, envahis par la peur, l’incertitude et le doute, expriment d’ores et déjà leur opposition à cette démarche et leur peur « pour l’avenir des enfants ». Sauf que vu les circonstances, la réticence pourrait être plus risquée que la vaccination. Les données récentes en provenance des différentes régions du Royaume et qui témoignent de la hausse des admissions d’enfants aux hôpitaux à cause du Covid, en sont la preuve palpable. A cela s’ajoute également la pression sur les services de réanimation déjà à bout de souffle.
Les préoccupations des parents sont certes légitimes, mais, aujourd’hui, on n’a plus d’autre choix que de faire confiance à nos professionnels, qui, depuis plus d’un an et demi, font preuve d’engagement et de dévouement envers la patrie et la population.
Enfin, pour réconforter les vaccino- sceptiques, rappelons qu’aujourd’hui le corps médical est mieux armé contre le Covid, et nous disposons aussi d’un peu plus de recul et d’expertise en la matière. Rappelons aussi que la vaccination a sauvé et sauve toujours bien des générations : en éradiquant la variole, ce ne sont pas moins de cinq millions de vies humaines épargnées annuellement ; en luttant contre la rougeole, la diphtérie, la coqueluche et la poliomyélite, quelque trois millions de vies sont sauvées chaque année. Et la liste est loin d’être exhaustive... La vaccination est donc inévitable. Mieux vaut tôt que tard.
Comme partout dans le monde, actuellement, des parents de tous bords, envahis par la peur, l’incertitude et le doute, expriment d’ores et déjà leur opposition à cette démarche et leur peur « pour l’avenir des enfants ». Sauf que vu les circonstances, la réticence pourrait être plus risquée que la vaccination. Les données récentes en provenance des différentes régions du Royaume et qui témoignent de la hausse des admissions d’enfants aux hôpitaux à cause du Covid, en sont la preuve palpable. A cela s’ajoute également la pression sur les services de réanimation déjà à bout de souffle.
Les préoccupations des parents sont certes légitimes, mais, aujourd’hui, on n’a plus d’autre choix que de faire confiance à nos professionnels, qui, depuis plus d’un an et demi, font preuve d’engagement et de dévouement envers la patrie et la population.
Enfin, pour réconforter les vaccino- sceptiques, rappelons qu’aujourd’hui le corps médical est mieux armé contre le Covid, et nous disposons aussi d’un peu plus de recul et d’expertise en la matière. Rappelons aussi que la vaccination a sauvé et sauve toujours bien des générations : en éradiquant la variole, ce ne sont pas moins de cinq millions de vies humaines épargnées annuellement ; en luttant contre la rougeole, la diphtérie, la coqueluche et la poliomyélite, quelque trois millions de vies sont sauvées chaque année. Et la liste est loin d’être exhaustive... La vaccination est donc inévitable. Mieux vaut tôt que tard.
Siham MDIJI