Après deux années de quasi-inactivité, de longs mois de lutte acharnée contre les redoutables variants du Covid, ça commence (enfin) à bouger réellement au sein du secteur de l’événementiel, qui retrouve ses marques petit à petit. Les grands Salons rouvrent leurs portes, les stades renouent avec leur public et les événements B2B/B2C se font de plus en plus nombreux… Bref, c’est dire que cette activité, qui a vu le chiffre d’affaires de ses professionnels dégringoler de plus de 75% en ces temps de pandémie, arrive aujourd’hui à voir le bout de tunnel.
Une dynamique qui tombe à point nommé pour l’activité économique, au moment où les effets conjugués de la sécheresse et du contexte international perturbé par les pressions inflationnistes et les tensions géopolitiques en Europe de l’Est, noircissent le tableau de la croissance nationale. Mais il n’en demeure pas moins qu’une petite bouffée de mesures d’assouplissement supplémentaires reste de mise pour que l’événementiel puisse reprendre son rythme de croisière.
Car oui, sur le plan légal, la société est toujours assujettie au respect de la distanciation physique, les rassemblements font encore l’objet d’une analyse au cas par cas, en fonction de la situation sanitaire du territoire concerné, et le spectre d’une éventuelle mise sous cloche de la société taraude toujours les esprits. Une situation de flou qui arrange et dérange tout le monde, que ce soit les opérateurs économiques qui sont ravis de retrouver un cours plus ou moins normal d’activité, ou les autorités qui gardent ainsi la main pour pouvoir sévir selon les situations et les besoins, au cas par cas.
Il est donc temps pour les autorités marocaines de prendre la décision «courageuse» et d’annoncer la fin des mesures Covid largement contestées. Omicron fût, comme prévu, une vague rapide de onze semaines, et les experts de tous bords estiment que les éventuelles vagues ne seraient pas aussi ravageuses. C’est dire que tous les ingrédients sont réunis pour entreprendre une démarche très attendue car incontestablement salvatrice non seulement pour l’événementiel mais pour toutes les activités annexes et connexes dont la relance de notre économie a grandement besoin.
Une dynamique qui tombe à point nommé pour l’activité économique, au moment où les effets conjugués de la sécheresse et du contexte international perturbé par les pressions inflationnistes et les tensions géopolitiques en Europe de l’Est, noircissent le tableau de la croissance nationale. Mais il n’en demeure pas moins qu’une petite bouffée de mesures d’assouplissement supplémentaires reste de mise pour que l’événementiel puisse reprendre son rythme de croisière.
Car oui, sur le plan légal, la société est toujours assujettie au respect de la distanciation physique, les rassemblements font encore l’objet d’une analyse au cas par cas, en fonction de la situation sanitaire du territoire concerné, et le spectre d’une éventuelle mise sous cloche de la société taraude toujours les esprits. Une situation de flou qui arrange et dérange tout le monde, que ce soit les opérateurs économiques qui sont ravis de retrouver un cours plus ou moins normal d’activité, ou les autorités qui gardent ainsi la main pour pouvoir sévir selon les situations et les besoins, au cas par cas.
Il est donc temps pour les autorités marocaines de prendre la décision «courageuse» et d’annoncer la fin des mesures Covid largement contestées. Omicron fût, comme prévu, une vague rapide de onze semaines, et les experts de tous bords estiment que les éventuelles vagues ne seraient pas aussi ravageuses. C’est dire que tous les ingrédients sont réunis pour entreprendre une démarche très attendue car incontestablement salvatrice non seulement pour l’événementiel mais pour toutes les activités annexes et connexes dont la relance de notre économie a grandement besoin.
Saâd JAFRI