Dans leur guerre déclarée au Maroc, les médias algériens, instrumentalisés par le régime des généraux, ne ratent aucune occasion ou prétexte pour orienter leurs salves de désinformation et de dénigrement vers notre pays. Le sport, activité noble censée élever les âmes et purifier les cœurs, n’échappe pas à cette manie du «Morocco Bashing» érigée en doctrine chez nos voisins de l’Est.
Exemple en a été donné à l’occasion des récents appels au boycott de la Coupe d’Afrique de Handball qui sera organisée à Laâyoune, et surtout lors de l’épisode du rejet de la candidature de l’actuel Président de la Fédération Algérienne de Football (FAF), Kheïreddine Zetchi, au poste de membre du Conseil de la FIFA.
Ce rejet, qui s’explique en réalité par les antécédents disciplinaires de Zetchi auquel les Marocains vouent un certain respect depuis son soutien à la candidature du Royaume pour l’organisation de la Coupe du Monde 2026, a été présenté comme le résultat d’occultes manœuvres marocaines dans les coulisses de l’instance internationale basée à Zurich. Il s’avérera par la suite que la divulgation des antécédents de Zetchi résulte de fuites internes au sein même du microcosme footballistique algérien.
Ce qui n’empêche nullement quelques plumitifs de l’autre côté de Zouj Bghal de continuer à faire une fixation sur le candidat marocain, en l’occurrence le Président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF), Fouzi Lekjaâ. Ceci, alors même que ce dernier n’est pas le seul candidat du continent, puisque cinq autres postulants africains briguent le même poste, tandis que Zetchi n’est pas le seul recalé puisque la candidature d’Ahmad Ahmad, le récemment rétabli dans ses fonctions de Président de la CAF, a également été rejetée pour des motifs autrement plus graves.
Au-delà de son statut de favori et de son tempérament de fonceur, cette fixation sur Lekjaâ s’explique par une volonté de stopper son élan vers l’accession à la tête de la CAF dont l’élection du prochain Président est programmée pour le 12 mars prochain, au flambant neuf Complexe Mohammed VI de Football de Maâmora, en même temps que celle des six membres africains du Conseil de la FIFA. Car, in fine, c’est l’éventualité d’une victoire de Lekjaâ en terre marocaine et son accession à la tête de la CAF et au Conseil de la FIFA le même jour, avec tout ce qu’elle implique comme acquis pour le softpower marocain, qui motive la bronca algérienne.
Exemple en a été donné à l’occasion des récents appels au boycott de la Coupe d’Afrique de Handball qui sera organisée à Laâyoune, et surtout lors de l’épisode du rejet de la candidature de l’actuel Président de la Fédération Algérienne de Football (FAF), Kheïreddine Zetchi, au poste de membre du Conseil de la FIFA.
Ce rejet, qui s’explique en réalité par les antécédents disciplinaires de Zetchi auquel les Marocains vouent un certain respect depuis son soutien à la candidature du Royaume pour l’organisation de la Coupe du Monde 2026, a été présenté comme le résultat d’occultes manœuvres marocaines dans les coulisses de l’instance internationale basée à Zurich. Il s’avérera par la suite que la divulgation des antécédents de Zetchi résulte de fuites internes au sein même du microcosme footballistique algérien.
Ce qui n’empêche nullement quelques plumitifs de l’autre côté de Zouj Bghal de continuer à faire une fixation sur le candidat marocain, en l’occurrence le Président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF), Fouzi Lekjaâ. Ceci, alors même que ce dernier n’est pas le seul candidat du continent, puisque cinq autres postulants africains briguent le même poste, tandis que Zetchi n’est pas le seul recalé puisque la candidature d’Ahmad Ahmad, le récemment rétabli dans ses fonctions de Président de la CAF, a également été rejetée pour des motifs autrement plus graves.
Au-delà de son statut de favori et de son tempérament de fonceur, cette fixation sur Lekjaâ s’explique par une volonté de stopper son élan vers l’accession à la tête de la CAF dont l’élection du prochain Président est programmée pour le 12 mars prochain, au flambant neuf Complexe Mohammed VI de Football de Maâmora, en même temps que celle des six membres africains du Conseil de la FIFA. Car, in fine, c’est l’éventualité d’une victoire de Lekjaâ en terre marocaine et son accession à la tête de la CAF et au Conseil de la FIFA le même jour, avec tout ce qu’elle implique comme acquis pour le softpower marocain, qui motive la bronca algérienne.
Hamid YAHYA