La récente flambée des cas de Covid, enregistrée lors des dernières 48 heures, notamment dans la Région de Casablanca-Settat, remet la pandémie au centre des préoccupations.
Ainsi et sans surprise, 2022 a bel et bien démarré comme les deux années précédentes : couvre-feu et communiqué nocturne en prime pour les habitants de la métropole appelant, entre autres, à la généralisation du recours au télétravail (hors industrie et métiers essentiels), tout en implorant les employeurs à veiller au parachèvement de la vaccination de l’ensemble de leur personnel. Une annonce qui fait craindre un durcissement des mesures restrictives, surtout après la décision récente du ministère de l’Enseignement supérieur de privilégier le recours au distanciel pour la tenue des cours et des examens.
Une hantise confortée par les récentes déclarations de la tutelle qui juge la situation épidémiologique alarmante, et évoque un manque de données sur la prolifération du variant Omicron au niveau national. Une absence de Data qui n’a pas empêché le ministère d’envisager une recrudescence des cas de contamination à court terme, tout en appelant à une généralisation de la troisième dose, nécessaire au maintien de l’immunité collective.
Parallèlement, les experts ne semblent pas craindre outre-mesure une détérioration de la situation sanitaire, jugeant le variant Omicron moins létal que ses prédécesseurs, malgré sa forte viralité. Cette rechute épidémiologique survient alors que la fin 2021 a enregistré plusieurs signes encourageants, particulièrement au niveau économique, avec un renforcement des principaux postes d’exportation et une reprise au niveau de la place de Casablanca. D’où la nécessité d’accompagner ces prémices de reprise économique en adoptant un nouveau mode de communication de crise offrant une meilleure visibilité aux citoyens comme aux décideurs économiques.
Ainsi et sans surprise, 2022 a bel et bien démarré comme les deux années précédentes : couvre-feu et communiqué nocturne en prime pour les habitants de la métropole appelant, entre autres, à la généralisation du recours au télétravail (hors industrie et métiers essentiels), tout en implorant les employeurs à veiller au parachèvement de la vaccination de l’ensemble de leur personnel. Une annonce qui fait craindre un durcissement des mesures restrictives, surtout après la décision récente du ministère de l’Enseignement supérieur de privilégier le recours au distanciel pour la tenue des cours et des examens.
Une hantise confortée par les récentes déclarations de la tutelle qui juge la situation épidémiologique alarmante, et évoque un manque de données sur la prolifération du variant Omicron au niveau national. Une absence de Data qui n’a pas empêché le ministère d’envisager une recrudescence des cas de contamination à court terme, tout en appelant à une généralisation de la troisième dose, nécessaire au maintien de l’immunité collective.
Parallèlement, les experts ne semblent pas craindre outre-mesure une détérioration de la situation sanitaire, jugeant le variant Omicron moins létal que ses prédécesseurs, malgré sa forte viralité. Cette rechute épidémiologique survient alors que la fin 2021 a enregistré plusieurs signes encourageants, particulièrement au niveau économique, avec un renforcement des principaux postes d’exportation et une reprise au niveau de la place de Casablanca. D’où la nécessité d’accompagner ces prémices de reprise économique en adoptant un nouveau mode de communication de crise offrant une meilleure visibilité aux citoyens comme aux décideurs économiques.
Amine ATER