La crise du coronavirus laissera derrière elle des larmes, des peurs, des rancoeurs, mais aussi des joies et des réalisations.
Pour les larmes, le temps se chargera de les sécher, sans nous faire oublier ces êtres chers disparus.
Le temps nous permettra aussi de digérer ce cumul de souffrances psychologiques et économiques occasionnées par la pandémie.
Quelques peurs primaires résisteront et resteront enfouies dans nos âmes pour resurgir à la moindre menace ou alerte. Faisons avec et profitons de cette bonne dose d’adrénaline.
Des rancoeurs aussi resteront gravées dans nos coeurs contre des agissements aussi peu honorables que ceux de ces écoles privées qui ont essayé de profiter de cette crise pour se faire de honteuses plus-values sur le dos des parents d’élèves et de la CNSS.
La même amertume persistera chez ceux qui se sont sentis abandonnés au-delà des frontières nationales et chez leurs proches. Et le plus tôt sera leur retour, le plus vite ils s’en remettront.
Mais dieu merci, la crise du coronavirus laissera aussi derrière elle des joies, des fiertés et des réalisations.
Les Marocains et le monde se souviendront longtemps de cet élan de discipline et de responsabilité collective qui a traversé le peuple marocain le faisant se dresser, à quelques rares exceptions, comme un seul homme face au coronavirus.
On se souviendra aussi de la clairvoyance et de la bienveillance de notre Roi qui a su insuffler cette réactivité sanitaire, économique et sécuritaire, sans laquelle la situation de notre pays aurait été aussi peu enviable que celle de nations pourtant plus riches et plus nanties.
On se souviendra enfin de cette ingéniosité et cette débrouillardise, toutes marocaines, qui nous ont fait faire des prouesses inimaginables il y a à peine quelques semaines.
Pour les larmes, le temps se chargera de les sécher, sans nous faire oublier ces êtres chers disparus.
Le temps nous permettra aussi de digérer ce cumul de souffrances psychologiques et économiques occasionnées par la pandémie.
Quelques peurs primaires résisteront et resteront enfouies dans nos âmes pour resurgir à la moindre menace ou alerte. Faisons avec et profitons de cette bonne dose d’adrénaline.
Des rancoeurs aussi resteront gravées dans nos coeurs contre des agissements aussi peu honorables que ceux de ces écoles privées qui ont essayé de profiter de cette crise pour se faire de honteuses plus-values sur le dos des parents d’élèves et de la CNSS.
La même amertume persistera chez ceux qui se sont sentis abandonnés au-delà des frontières nationales et chez leurs proches. Et le plus tôt sera leur retour, le plus vite ils s’en remettront.
Mais dieu merci, la crise du coronavirus laissera aussi derrière elle des joies, des fiertés et des réalisations.
Les Marocains et le monde se souviendront longtemps de cet élan de discipline et de responsabilité collective qui a traversé le peuple marocain le faisant se dresser, à quelques rares exceptions, comme un seul homme face au coronavirus.
On se souviendra aussi de la clairvoyance et de la bienveillance de notre Roi qui a su insuffler cette réactivité sanitaire, économique et sécuritaire, sans laquelle la situation de notre pays aurait été aussi peu enviable que celle de nations pourtant plus riches et plus nanties.
On se souviendra enfin de cette ingéniosité et cette débrouillardise, toutes marocaines, qui nous ont fait faire des prouesses inimaginables il y a à peine quelques semaines.
Mohammed SEDRATI