Les Marocains et notamment les opérateurs économiques, quelles que soient leurs tailles ou leurs activités, attendent impatiemment l’annonce d’un allégement des mesures restrictives. Le Royaume enregistre en effet, depuis les cinq dernières semaines, une amélioration notable de sa situation épidémiologique, conjuguée à une forte augmentation du taux de vaccination qui se rapproche à grande vitesse de la barre des 20 millions de personnes ayant reçu les deux doses et qui a déjà atteint un taux de 50,6% de l’ensemble de la population. Un effort qui ne risque pas d’être stoppé dans son élan, vu que le Royaume a réussi à sécuriser ses sources d’approvisionnement en vaccins, et ce, malgré la forte concurrence que se livrent les Etats sur ce segment.
Par ailleurs, la tenue des élections générales le 8 septembre dernier, avec un taux de participation plus que respectable, n’a eu aucune incidence sur la situation épidémiologique, ni favorisé l’apparition de clusters. Un ensemble d’indicateurs qui, de l’aveu même de membres du Comité scientifique, représente une preuve du respect par les Marocaines et Marocains des gestes barrières et qui a motivé les membres du Comité à recommander un assouplissement des mesures restrictives. En attendant, le gouvernement, qui est depuis deux semaines en mode gestion des affaires courantes, maintient le silence radio sur la question.
Une attitude qui représente une perte de temps précieux pour les acteurs économiques les plus touchés par les mesures sanitaires, à savoir les restaurateurs, les opérateurs touristiques, les transporteurs, l’industrie du sport, les hammams…
Ces opérateurs craignent que le tant espéré allégement soit repoussé à l’entrée en fonction du nouveau gouvernement, et partant le prolongement pour plusieurs jours encore de leur détresse économique qui a déjà suffisamment ravagé les trésoreries et détruit un nombre important d’emplois. D’autres aussi appréhendent l’arrivée d‘une nouvelle vague lors des mois à venir et déplorent a priori que l’attentisme actuel des autorités ait dilapidé de précieuses semaines d’activité à l’économie nationale.
Par ailleurs, la tenue des élections générales le 8 septembre dernier, avec un taux de participation plus que respectable, n’a eu aucune incidence sur la situation épidémiologique, ni favorisé l’apparition de clusters. Un ensemble d’indicateurs qui, de l’aveu même de membres du Comité scientifique, représente une preuve du respect par les Marocaines et Marocains des gestes barrières et qui a motivé les membres du Comité à recommander un assouplissement des mesures restrictives. En attendant, le gouvernement, qui est depuis deux semaines en mode gestion des affaires courantes, maintient le silence radio sur la question.
Une attitude qui représente une perte de temps précieux pour les acteurs économiques les plus touchés par les mesures sanitaires, à savoir les restaurateurs, les opérateurs touristiques, les transporteurs, l’industrie du sport, les hammams…
Ces opérateurs craignent que le tant espéré allégement soit repoussé à l’entrée en fonction du nouveau gouvernement, et partant le prolongement pour plusieurs jours encore de leur détresse économique qui a déjà suffisamment ravagé les trésoreries et détruit un nombre important d’emplois. D’autres aussi appréhendent l’arrivée d‘une nouvelle vague lors des mois à venir et déplorent a priori que l’attentisme actuel des autorités ait dilapidé de précieuses semaines d’activité à l’économie nationale.
Amine ATER