Oscillant entre l’optimisme et le pessimisme au gré d’un compteur malicieux et sournois, en dents de scie, entre aussi, épisodiquement, un discours béat du chef du gouvernement et un autre plutôt alarmiste du ministre de la Santé, notre quotidien est « scandé » par le moment crucial de l’annonce des chiffres des dernières 24 heures, où l’audimat doit sans doute être des plus élevés.
Ballotée entre l’espoir de voir bientôt le bout du tunnel et la psychose de devoir lutter plus longtemps contre un mal aussi vicieux que ses symptômes ténébreux, l’humanité entière subit les vicissitudes d’un fléau qui supplante tous ses prédécesseurs à travers l’Histoire, pourtant jalonnée de calamités. Nous aux aguets d’un tournant historique à l’échelle planétaire. Qu’adviendra-t-il de nous, individuellement et collectivement, sur les plans social et économique, culturel et politique, une fois gagnée la bataille ? Car nous finirons par l’emporter, n’est-ce pas ?
Tel le phénix qui renaît de ses cendres, l’humanité se relèvera un beau matin, après un désastre coûteux en vies humaines, en récession économique et en dépérissement social. Face à quelle nouvelle réalité se trouvera-t-elle ? Une, ou plusieurs leçons sont-elles à retenir ? Certes.
La première est que le salut de tout un chacun est tributaire de celui de son semblable. Valeur de toutes les valeurs, c’est celle-là qu’il faudra développer en priorité. Nul n’est à l’abri lorsqu’une pandémie frappe. Nous sommes tous des victimes potentielles. Seule une solidarité universelle et infaillible peut s’avérer salutaire.
A l’organisation mondiale de la santé ils en savent quelques bribes, mais ils ont encore du chemin à parcourir.
Au Maroc, on peut dire, de manière générale, que nous avons eu le génie d’anticiper et de réagir comme il se doit. Reste seulement que cette précieuse prise de conscience doit être l’apanage de tous.
Ballotée entre l’espoir de voir bientôt le bout du tunnel et la psychose de devoir lutter plus longtemps contre un mal aussi vicieux que ses symptômes ténébreux, l’humanité entière subit les vicissitudes d’un fléau qui supplante tous ses prédécesseurs à travers l’Histoire, pourtant jalonnée de calamités. Nous aux aguets d’un tournant historique à l’échelle planétaire. Qu’adviendra-t-il de nous, individuellement et collectivement, sur les plans social et économique, culturel et politique, une fois gagnée la bataille ? Car nous finirons par l’emporter, n’est-ce pas ?
Tel le phénix qui renaît de ses cendres, l’humanité se relèvera un beau matin, après un désastre coûteux en vies humaines, en récession économique et en dépérissement social. Face à quelle nouvelle réalité se trouvera-t-elle ? Une, ou plusieurs leçons sont-elles à retenir ? Certes.
La première est que le salut de tout un chacun est tributaire de celui de son semblable. Valeur de toutes les valeurs, c’est celle-là qu’il faudra développer en priorité. Nul n’est à l’abri lorsqu’une pandémie frappe. Nous sommes tous des victimes potentielles. Seule une solidarité universelle et infaillible peut s’avérer salutaire.
A l’organisation mondiale de la santé ils en savent quelques bribes, mais ils ont encore du chemin à parcourir.
Au Maroc, on peut dire, de manière générale, que nous avons eu le génie d’anticiper et de réagir comme il se doit. Reste seulement que cette précieuse prise de conscience doit être l’apanage de tous.
Mohammed SEDRATI