Dès l’enregistrement du premier cas officiel de Covid-19 au Maroc, le tourisme a été l’un des premiers secteurs économiques à tomber sous le feu nourri des impacts financiers de cette crise sanitaire. Après quelques spasmes, sa mort clinique a été prononcée le 20 mars avec l’instauration de l’état d’urgence sanitaire, précédé par la fermeture des frontières terrestres, aériennes et maritimes.
Avant le tourisme, le secteur de l’immobilier, grabataire depuis plusieurs années, a accueilli la pandémie du Coronavirus comme ces suppliciés, presque heureux, de recevoir le coup de grâce qui met fin à leurs souffrances.
A eux seuls, le tourisme et l’immobilier animaient des écosystèmes qui font vivre environ quatre millions de Marocains, entre emplois directs, indirects et induits. Leur réanimation est donc une vraie question de vie ou de mort pour l’ensemble du pays.
Parmi les nombreuses pistes explorées pour la relance de ces deux secteurs qui, malgré quelques interactions, évoluent le plus souvent de manière parallèle, un dénominateur commun se dégage : ils ne peuvent être sauvés à court terme que par la demande intérieure, elle-même en détresse. Mais pour que cette demande intérieure suive, des aménagements s’imposent sous la forme d’une refonte totale pour laquelle, l’actuelle crise du Coronavirus constitue plus une opportunité qu’un inconvénient. Le «shutdown» total de ces deux secteurs permettant en effet d’interagir, aujourd’hui plus que jamais, sur leurs fondamentaux. Notamment en matière de diversification de l’offre, d’amélioration de la qualité et d’adaptation des prix.
A moyen terme, les deux secteurs peuvent capitaliser sur le label d’excellence décroché par le Maroc dans sa gestion de la pandémie du Coronavirus et s’en servir pour leur marketing. Ils doivent surtout s’en inspirer dans leur mode de fonctionnement pour reconquérir et fidéliser leur clientèle locale et internationale.
Avant le tourisme, le secteur de l’immobilier, grabataire depuis plusieurs années, a accueilli la pandémie du Coronavirus comme ces suppliciés, presque heureux, de recevoir le coup de grâce qui met fin à leurs souffrances.
A eux seuls, le tourisme et l’immobilier animaient des écosystèmes qui font vivre environ quatre millions de Marocains, entre emplois directs, indirects et induits. Leur réanimation est donc une vraie question de vie ou de mort pour l’ensemble du pays.
Parmi les nombreuses pistes explorées pour la relance de ces deux secteurs qui, malgré quelques interactions, évoluent le plus souvent de manière parallèle, un dénominateur commun se dégage : ils ne peuvent être sauvés à court terme que par la demande intérieure, elle-même en détresse. Mais pour que cette demande intérieure suive, des aménagements s’imposent sous la forme d’une refonte totale pour laquelle, l’actuelle crise du Coronavirus constitue plus une opportunité qu’un inconvénient. Le «shutdown» total de ces deux secteurs permettant en effet d’interagir, aujourd’hui plus que jamais, sur leurs fondamentaux. Notamment en matière de diversification de l’offre, d’amélioration de la qualité et d’adaptation des prix.
A moyen terme, les deux secteurs peuvent capitaliser sur le label d’excellence décroché par le Maroc dans sa gestion de la pandémie du Coronavirus et s’en servir pour leur marketing. Ils doivent surtout s’en inspirer dans leur mode de fonctionnement pour reconquérir et fidéliser leur clientèle locale et internationale.