Le compte à rebours est lancé. La campagne de vaccination antiCovid devrait commencer dans les quelques jours à venir au Maroc, où la population attend avec impatience le retour à une vie «normale», débarrassée de la menace de l’ennemi invisible. Pour réaliser ce scénario tant attendu, un niveau immunitaire suffisant est de mise, c’est ainsi que le ministre de la Santé, Khalid At Taleb, a appelé les citoyens à se faire vacciner massivement en vue d’atteindre l’immunité collective et endiguer la propagation du virus.
En effet, bon nombre d’experts estiment qu’au-delà d’un certain seuil de personnes immunisées, la propagation du virus se voit significativement ralentie, faute d’avoir suffisamment d’humains à infecter. Bien que la maladie ne disparaisse pas, la folle flambée épidémique diminue.
Ceci prête à l’optimisme, certes, mais tous ne sont pas du même avis…Certains spécialistes disent que de telles attentes sont déplacées, suscitant la peur et la méfiance dans les esprits d’une opinion publique qui ne sait plus à quel saint se vouer pour se réconforter
À cela, s’ajoutent les théories conspirationnistes qui se propagent aujourd’hui comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux et les pseudos blogs «spécialisés», faisant du vaccin anti-complot un besoin aussi important et urgent que l’anti-Covid. Il est donc temps de lancer la «fameuse» campagne de communication annoncée par la tutelle depuis déjà trois semaines, en vue d’apaiser les critiques et le scepticisme flottant sous nos cieux et parvenir à l’immunité collective contre le virus du complot…
En effet, bon nombre d’experts estiment qu’au-delà d’un certain seuil de personnes immunisées, la propagation du virus se voit significativement ralentie, faute d’avoir suffisamment d’humains à infecter. Bien que la maladie ne disparaisse pas, la folle flambée épidémique diminue.
Ceci prête à l’optimisme, certes, mais tous ne sont pas du même avis…Certains spécialistes disent que de telles attentes sont déplacées, suscitant la peur et la méfiance dans les esprits d’une opinion publique qui ne sait plus à quel saint se vouer pour se réconforter
À cela, s’ajoutent les théories conspirationnistes qui se propagent aujourd’hui comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux et les pseudos blogs «spécialisés», faisant du vaccin anti-complot un besoin aussi important et urgent que l’anti-Covid. Il est donc temps de lancer la «fameuse» campagne de communication annoncée par la tutelle depuis déjà trois semaines, en vue d’apaiser les critiques et le scepticisme flottant sous nos cieux et parvenir à l’immunité collective contre le virus du complot…
Saâd JAFRI