En l’espace de deux décennies, le Royaume a franchi des pas de géant dans l’amélioration de l’environnement des affaires et particulièrement en termes d’investissements consentis. Le Maroc fait figure, en la matière, de bon élève au niveau mondial. Preuve en est son taux d’investissement qui équivaut à 30% de son PIB, alors que la moyenne mondiale s’établit à 20%.
Une performance qui a permis de renforcer considérablement l’attractivité de l’économie marocaine, notamment via un réseau d’infrastructures en constante amélioration, dont le fer de lance reste le port de Tanger Med qui vient de franchir la barre des 7 millions de conteneurs EVP traités en 2021, soit une progression de 24% par rapport à 2020, et qui conforte au passage son leadership au niveau continental et dans le pourtour méditerranéen.
Des chiffres qui viennent corroborer la stratégie adoptée par le Royaume, mais qui, d’un autre côté, renseignent sur l’importance de la part du public qui représente les deux tiers du total de l’investissement. Une tendance qui devrait être inversée selon Mohcine Jazouli, ministre délégué, chargé de l’Investissement, qui, lors d’un récent passage devant la Chambre des Représentants, a annoncé les grandes lignes de sa nouvelle charte de l’investissement.
Conformément aux recommandations du Nouveau Modèle de Développement, cette feuille de route devrait mettre en branle une nouvelle étape dans l’amélioration de l’attractivité de l’offre marocaine, qui a pour principal objectif de faire passer la part du privé à deux tiers de l’investissement total en 2035 et d’adopter une répartition territoriale juste de ces investissements de manière à assurer une équité territoriale.
Autre objectif de taille : arrimer les futurs bassins industriels aux nouveaux secteurs à forte valeur ajoutée, à l’image du renouvelable et des technologies de l’information. Des objectifs ambitieux dont la réalisation sera conditionnée par la mise en place de réelles synergies entre les opérateurs économiques, les universités et les centres de formation professionnelle, pour mettre en place des cursus qui répondent aux besoins réels des entreprises.
Plus que les réformes administratives et légales, la rupture avec le mode de fonctionnement en silo, qui caractérisait le fonctionnement des anciens gouvernements, permettra la mise en place d’une réelle inclusion de l’ensemble du territoire dans le train du développement qui se limite malheureusement, aujourd’hui, à l’axe Tanger-Agadir.
Une performance qui a permis de renforcer considérablement l’attractivité de l’économie marocaine, notamment via un réseau d’infrastructures en constante amélioration, dont le fer de lance reste le port de Tanger Med qui vient de franchir la barre des 7 millions de conteneurs EVP traités en 2021, soit une progression de 24% par rapport à 2020, et qui conforte au passage son leadership au niveau continental et dans le pourtour méditerranéen.
Des chiffres qui viennent corroborer la stratégie adoptée par le Royaume, mais qui, d’un autre côté, renseignent sur l’importance de la part du public qui représente les deux tiers du total de l’investissement. Une tendance qui devrait être inversée selon Mohcine Jazouli, ministre délégué, chargé de l’Investissement, qui, lors d’un récent passage devant la Chambre des Représentants, a annoncé les grandes lignes de sa nouvelle charte de l’investissement.
Conformément aux recommandations du Nouveau Modèle de Développement, cette feuille de route devrait mettre en branle une nouvelle étape dans l’amélioration de l’attractivité de l’offre marocaine, qui a pour principal objectif de faire passer la part du privé à deux tiers de l’investissement total en 2035 et d’adopter une répartition territoriale juste de ces investissements de manière à assurer une équité territoriale.
Autre objectif de taille : arrimer les futurs bassins industriels aux nouveaux secteurs à forte valeur ajoutée, à l’image du renouvelable et des technologies de l’information. Des objectifs ambitieux dont la réalisation sera conditionnée par la mise en place de réelles synergies entre les opérateurs économiques, les universités et les centres de formation professionnelle, pour mettre en place des cursus qui répondent aux besoins réels des entreprises.
Plus que les réformes administratives et légales, la rupture avec le mode de fonctionnement en silo, qui caractérisait le fonctionnement des anciens gouvernements, permettra la mise en place d’une réelle inclusion de l’ensemble du territoire dans le train du développement qui se limite malheureusement, aujourd’hui, à l’axe Tanger-Agadir.
Amine ATER