En ce samedi 13 novembre 2021, les Marocains célèbrent le 1er anniversaire de la libération et de la sécurisation du passage frontalier d’El Guergarate : un événement déterminant qui marquera à jamais l’Histoire de la longue lutte du Royaume du Maroc pour le parachèvement de son intégrité territoriale.
En plus d’être une victoire retentissante de notre cause nationale sur les convoitises algériennes et les tentatives du régime des généraux de perpétuer le pourrissement sécuritaire dans cette région sous souveraineté marocaine, cette affaire constitue une leçon de savoir-faire stratégique, autant militaire que diplomatique.
En l’espace d’une intervention éclair, nette, propre et millimétrée de nos Forces Armées Royales dans cette zone que les nervis du Polisario tentaient d’obstruer pour couper le Maroc de sa profondeur continentale, l’équilibre géostratégique et diplomatique a en effet été entièrement inversé au profit du Royaume. Et moins d’un mois plus tard, la souveraineté pleine et entière de notre pays sur son Sahara sera reconnue par la toute puissante Amérique, suivie par un nombre de plus en plus grandissant de pays qui y ont installé leurs représentations diplomatiques.
A l’Est, l’onde de choc de ce coup d’éclat n’a pas fini de produire ses effets ravageurs aussi bien dans les rangs des mercenaires du Polisario que parmi la junte des généraux algériens dont les desseins malveillants se sont effrités, comme un château de sable, face à la détermination et à la résilience de la position marocaine basée sur la légitimité historique et légale.
Une légitimité récemment consacrée par le Conseil de Sécurité de l’ONU qui a mis l’accent sur la nécessité d’un règlement pacifique et concerté du conflit fomenté du Sahara dans le cadre de la proposition marocaine d’une large autonomie, sans aucune référence à l’affaire d’El Guergarate que la diplomatie algérienne a tenté en vain d’inclure dans la Résolution 2602 concernant le renouvellement du mandat de la MINURSO.
Le régime algérien qui a érigé l’affaire du Sahara en colonne vertébrale de sa politique étrangère basée sur une hostilité maladive envers le Maroc, car prétendument fédératrice en interne, se retrouve aujourd’hui complètement désarticulé et dans une très mauvaise posture qui augure de lendemains difficiles et incertains pour sa survie.
De son côté, le Royaume du Maroc, qui vient de rétablir les flux de voyageurs via le passage d’El Guergarate, reste fidèle à sa ligne de conduite basée sur le pragmatisme que consacre la continuité ininterrompue des projets socioéconomiques et infrastructurels au profit des populations locales, à El Guergarate comme dans l’ensemble de nos provinces sahariennes. Car, malgré les pseudos menaces de représailles militaires, et en dépit du contexte pandémique, la caravane passe…
En plus d’être une victoire retentissante de notre cause nationale sur les convoitises algériennes et les tentatives du régime des généraux de perpétuer le pourrissement sécuritaire dans cette région sous souveraineté marocaine, cette affaire constitue une leçon de savoir-faire stratégique, autant militaire que diplomatique.
En l’espace d’une intervention éclair, nette, propre et millimétrée de nos Forces Armées Royales dans cette zone que les nervis du Polisario tentaient d’obstruer pour couper le Maroc de sa profondeur continentale, l’équilibre géostratégique et diplomatique a en effet été entièrement inversé au profit du Royaume. Et moins d’un mois plus tard, la souveraineté pleine et entière de notre pays sur son Sahara sera reconnue par la toute puissante Amérique, suivie par un nombre de plus en plus grandissant de pays qui y ont installé leurs représentations diplomatiques.
A l’Est, l’onde de choc de ce coup d’éclat n’a pas fini de produire ses effets ravageurs aussi bien dans les rangs des mercenaires du Polisario que parmi la junte des généraux algériens dont les desseins malveillants se sont effrités, comme un château de sable, face à la détermination et à la résilience de la position marocaine basée sur la légitimité historique et légale.
Une légitimité récemment consacrée par le Conseil de Sécurité de l’ONU qui a mis l’accent sur la nécessité d’un règlement pacifique et concerté du conflit fomenté du Sahara dans le cadre de la proposition marocaine d’une large autonomie, sans aucune référence à l’affaire d’El Guergarate que la diplomatie algérienne a tenté en vain d’inclure dans la Résolution 2602 concernant le renouvellement du mandat de la MINURSO.
Le régime algérien qui a érigé l’affaire du Sahara en colonne vertébrale de sa politique étrangère basée sur une hostilité maladive envers le Maroc, car prétendument fédératrice en interne, se retrouve aujourd’hui complètement désarticulé et dans une très mauvaise posture qui augure de lendemains difficiles et incertains pour sa survie.
De son côté, le Royaume du Maroc, qui vient de rétablir les flux de voyageurs via le passage d’El Guergarate, reste fidèle à sa ligne de conduite basée sur le pragmatisme que consacre la continuité ininterrompue des projets socioéconomiques et infrastructurels au profit des populations locales, à El Guergarate comme dans l’ensemble de nos provinces sahariennes. Car, malgré les pseudos menaces de représailles militaires, et en dépit du contexte pandémique, la caravane passe…
Majd EL ATOUABI