A l’image de plusieurs secteurs d’activité, l’écosystème de l’aéronautique avait accusé le coup de la pandémie et traversé une période d’incertitude sur le maintien des commandes. Une hantise qui semble aujourd’hui dépassée, en témoignent l’enthousiasme et l’optimisme affichés par l’ensemble des parties prenantes de l’écosystème, lors de la 6ème édition des Aerospace Meetings Casablanca.
A cette grand-messe du secteur, le ministre de l’Industrie, Ryad Mezzour, s’est félicité de l’afflux de commandes pour la plateforme Maroc et des retombées qu’elles devraient générer, notamment en termes de création d’emplois. Une annonce qui rassure sur l’attractivité d’une industrie stratégique, attractivité qui devrait être largement renforcée par l’annonce de la mise en place d’une nouvelle stratégie de formation du capital humain, mettant l’accent sur le middle management.
Ce ne sont pas moins de 100.000 cadres qui devraient être formés en l’espace de 4 ans et qui seront destinés à rejoindre les rangs des opérateurs aéronautiques comme automobiles. Un chantier dont la mise en oeuvre a le potentiel d’être un « game changer » pour la plateforme marocaine, qui devrait gagner en valeur ajoutée.
En clair, l’arrivée de ces nouveaux cadres devrait permettre aux opérateurs marocains de monter en gamme, pour continuer à répondre aux exigences des donneurs d’ordre, d’un côté, et à se démarquer face à la concurrence en injectant de nouvelles spécialités à forte valeurs ajoutée dans l’offre de l’écosystème, de l’autre. Disposer d’un middle management de qualité conditionne cette montée en valeur, vu l’importance de cet échelon décisionnel pour accompagner l’évolution d’un outil de production et matérialiser les stratégies de développement mises en place par le top management.
Reste à savoir si cet ambitieux plan de développement du capital humain prévoit d’intégrer les ouvriers et techniciens déjà en poste au sein de l’écosystème, ce qui permettra de capitaliser sur leurs expériences accumulées sur le terrain, le fameux learning by doing et l’enrichir avec des formations.
Donner la priorité à ce type d’éléments devrait bénéficier aux opérateurs comme à leurs collaborateurs et permettre d’adopter des modes de réflexion et de management disruptifs et réactifs pour répondre aux imprévus inhérents à un marché où la concurrence fait rage.
A cette grand-messe du secteur, le ministre de l’Industrie, Ryad Mezzour, s’est félicité de l’afflux de commandes pour la plateforme Maroc et des retombées qu’elles devraient générer, notamment en termes de création d’emplois. Une annonce qui rassure sur l’attractivité d’une industrie stratégique, attractivité qui devrait être largement renforcée par l’annonce de la mise en place d’une nouvelle stratégie de formation du capital humain, mettant l’accent sur le middle management.
Ce ne sont pas moins de 100.000 cadres qui devraient être formés en l’espace de 4 ans et qui seront destinés à rejoindre les rangs des opérateurs aéronautiques comme automobiles. Un chantier dont la mise en oeuvre a le potentiel d’être un « game changer » pour la plateforme marocaine, qui devrait gagner en valeur ajoutée.
En clair, l’arrivée de ces nouveaux cadres devrait permettre aux opérateurs marocains de monter en gamme, pour continuer à répondre aux exigences des donneurs d’ordre, d’un côté, et à se démarquer face à la concurrence en injectant de nouvelles spécialités à forte valeurs ajoutée dans l’offre de l’écosystème, de l’autre. Disposer d’un middle management de qualité conditionne cette montée en valeur, vu l’importance de cet échelon décisionnel pour accompagner l’évolution d’un outil de production et matérialiser les stratégies de développement mises en place par le top management.
Reste à savoir si cet ambitieux plan de développement du capital humain prévoit d’intégrer les ouvriers et techniciens déjà en poste au sein de l’écosystème, ce qui permettra de capitaliser sur leurs expériences accumulées sur le terrain, le fameux learning by doing et l’enrichir avec des formations.
Donner la priorité à ce type d’éléments devrait bénéficier aux opérateurs comme à leurs collaborateurs et permettre d’adopter des modes de réflexion et de management disruptifs et réactifs pour répondre aux imprévus inhérents à un marché où la concurrence fait rage.
Amine ATER