Le Mali fait face aujourd’hui a de multiples défis sécuritaires, économiques, politiques et sociaux. Le pays qui est en pleine restructuration de son appareil d’Etat mené par le Conseil National de Transition, doit également maintenir l’effort de guerre, gérer la présence de 12.000 hommes de troupes étrangères sur son territoire (Minusma, G5 Sahel, Barkhane) et s’atteler à organiser des élections présidentielles.
Bamako qui est en pleine reconstruction de ses Forces armées (FAMA), doit maintenant faire face au retrait des troupes françaises qui ont d’ores et déjà remis la base de Kidal aux casques bleus de la Minusma et à un contingent des FAMA, et devraient bientôt finaliser leur départ des bases de Tombouctou et de Tessalit. Tout le défi pour Bamako est de parvenir à rétablir sa souveraineté dans le Nord face aux velléités des indépendantistes Touaregs, tout en évitant un nouveau conflit armé, sans pour autant mettre au second plan les besoins socio-économiques des Maliens épuisés par près d’une décennie de guerre.
Une équation où le Royaume a son rôle à jouer, Rabat et Bamako étant liés par des rapports ancestraux, notamment commerciaux, politiques, culturels et religieux. Une Histoire commune qui permet au Maroc de se positionner comme un partenaire de choix pour épauler le gouvernement malien face aux défis qui le guettent. L’expérience marocaine en termes de développement territorial, notamment ayant trait à l’électrification et à l’accès à l’eau potable, l’administration du territoire ou encore la gouvernance du champ religieux, est facilement transposable dans le contexte malien.
D’ailleurs, le Royaume contribue déjà à la formation des élites civiles et militaires maliennes depuis des années et a multiplié les IDE dans les secteurs de la banque, des assurances, des NTIC, des télécoms ou encore dans le BTP et l’immobilier.
Le Maroc représente ainsi un partenaire de taille pour accompagner le Mali dans sa stabilisation, en lui offrant un appui socio-économique. D’autant plus que la stabilisation et la sanctuarisation du territoire malien représentent un précieux levier dans la stabilisation de la zone sahélo-saharienne, laquelle constitue une région stratégique pour le développement économique du Royaume.
Bamako qui est en pleine reconstruction de ses Forces armées (FAMA), doit maintenant faire face au retrait des troupes françaises qui ont d’ores et déjà remis la base de Kidal aux casques bleus de la Minusma et à un contingent des FAMA, et devraient bientôt finaliser leur départ des bases de Tombouctou et de Tessalit. Tout le défi pour Bamako est de parvenir à rétablir sa souveraineté dans le Nord face aux velléités des indépendantistes Touaregs, tout en évitant un nouveau conflit armé, sans pour autant mettre au second plan les besoins socio-économiques des Maliens épuisés par près d’une décennie de guerre.
Une équation où le Royaume a son rôle à jouer, Rabat et Bamako étant liés par des rapports ancestraux, notamment commerciaux, politiques, culturels et religieux. Une Histoire commune qui permet au Maroc de se positionner comme un partenaire de choix pour épauler le gouvernement malien face aux défis qui le guettent. L’expérience marocaine en termes de développement territorial, notamment ayant trait à l’électrification et à l’accès à l’eau potable, l’administration du territoire ou encore la gouvernance du champ religieux, est facilement transposable dans le contexte malien.
D’ailleurs, le Royaume contribue déjà à la formation des élites civiles et militaires maliennes depuis des années et a multiplié les IDE dans les secteurs de la banque, des assurances, des NTIC, des télécoms ou encore dans le BTP et l’immobilier.
Le Maroc représente ainsi un partenaire de taille pour accompagner le Mali dans sa stabilisation, en lui offrant un appui socio-économique. D’autant plus que la stabilisation et la sanctuarisation du territoire malien représentent un précieux levier dans la stabilisation de la zone sahélo-saharienne, laquelle constitue une région stratégique pour le développement économique du Royaume.
Amine ATER