Sans pass sanitaire, vous ne pouvez pas voyager… ni vivre normalement. Sortir, participer à des activités sociales, culturelles et sportives, suppose que vous êtes immunisé contre le Coronavirus et que vous ne risquez pas de contaminer autour de vous. La proximité favorise le risque de contamination individuelle et collective.
Ce n’est pas de la théorie mais la triste et, parfois, mortelle réalité de la pandémie au Coronavirus contre laquelle la lutte s’est organisée pour atteindre l’immunité collective. Et, avec 70% de la population, le Maroc est en voie d’atteindre cet objectif fixé à la campagne de vaccination !
Le pass sanitaire se pose ainsi comme l’aboutissement logique des campagnes de vaccination, un effort national qui vise à l’immunité de la population et le pass vaccinal en est une sorte de garant qui ne dit pas son nom. Au-delà des contraintes psychologiques liées à la nécessité de l’exhiber dans les lieux publics - et seulement ! -, il constitue la preuve irréfutable de votre vaccination, et se présente comme un passeport pour vivre pleinement : rendre visite à sa famille, réunir les amis, aller au cinéma, au théâtre, assister à une compétition sportive, voyager.
Sur le plan économique, le pass vaccinal sonne la fin de l’immobilisme et le début de la reprise soutenue des activités, économiques d’abord, de loisir ensuite. L’enjeu n’est pas seulement le relâchement de la pression sur le système de santé, mais le retour à la vie, plein et complet, avec la réouverture de tout ce qui peut l’aider à se manifester dans toute sa plénitude communautaire et sociale.
Le large spectre des lieux libres d’accès par la grâce du pass vaccinal signe un début de victoire contre la pandémie et la peur qu’elle suscite parmi les autorités et la population : administrations publiques, semipubliques et privées, établissements hôteliers et touristiques, restaurants, cafés, espaces fermés, commerces, salles de sport avec, en prime, la liberté de voyager.
Déconfinement physique, déconfinement psychologique, le pass sanitaire reste la clé pour assurer un retour à la normale, sans contraintes ni risques d’y perdre la santé, voire la vie.
Ce n’est pas de la théorie mais la triste et, parfois, mortelle réalité de la pandémie au Coronavirus contre laquelle la lutte s’est organisée pour atteindre l’immunité collective. Et, avec 70% de la population, le Maroc est en voie d’atteindre cet objectif fixé à la campagne de vaccination !
Le pass sanitaire se pose ainsi comme l’aboutissement logique des campagnes de vaccination, un effort national qui vise à l’immunité de la population et le pass vaccinal en est une sorte de garant qui ne dit pas son nom. Au-delà des contraintes psychologiques liées à la nécessité de l’exhiber dans les lieux publics - et seulement ! -, il constitue la preuve irréfutable de votre vaccination, et se présente comme un passeport pour vivre pleinement : rendre visite à sa famille, réunir les amis, aller au cinéma, au théâtre, assister à une compétition sportive, voyager.
Sur le plan économique, le pass vaccinal sonne la fin de l’immobilisme et le début de la reprise soutenue des activités, économiques d’abord, de loisir ensuite. L’enjeu n’est pas seulement le relâchement de la pression sur le système de santé, mais le retour à la vie, plein et complet, avec la réouverture de tout ce qui peut l’aider à se manifester dans toute sa plénitude communautaire et sociale.
Le large spectre des lieux libres d’accès par la grâce du pass vaccinal signe un début de victoire contre la pandémie et la peur qu’elle suscite parmi les autorités et la population : administrations publiques, semipubliques et privées, établissements hôteliers et touristiques, restaurants, cafés, espaces fermés, commerces, salles de sport avec, en prime, la liberté de voyager.
Déconfinement physique, déconfinement psychologique, le pass sanitaire reste la clé pour assurer un retour à la normale, sans contraintes ni risques d’y perdre la santé, voire la vie.
Abdallah BENSMAÏN