En ces temps de sinistrose, il est difficile pour les jeunes de ne pas céder au désespoir. Ils sont en première ligne de la crise, mais aussi du sentiment de hogra et d’indignation qu’elle alimente. Les jeunes payent au prix fort la dégradation du climat économique depuis que la Covid-19 a pris ses quartiers dans le Royaume. Si le taux de chômage global a dépassé les 12% au deuxième trimestre, il monte à 33,4% pour les jeunes. Et si les jeunes n’arrivent pas à atteindre leur plein potentiel, c’est principalement à cause de l’incapacité de l’économie nationale à offrir suffisamment d’opportunités.
Grâce, toutefois, aux différents programmes initiés par le Souverain, l’espoir reste de mise.
Le Royaume dispose d’une population jeune qui constitue un gage de résilience sanitaire inestimable, mais également une précieuse ressource et un facteur de croissance potentiel de taille, qualifié souvent de « dividende démographique ». Saisir cette opportunité revient à mettre en place les conditions nécessaires à sa valorisation et son insertion dynamique dans le processus de développement du pays.
Raison pour laquelle les questions de la jeunesse sont au cœur de la conception en cours du nouveau modèle de développement, souhaité par SM le Roi.
Ce modèle devrait se traduire par la construction d’infrastructures destinées à assurer aux jeunes formation et qualification, la mise en place d’un «Programme intégré d’appui et de financement des entreprises» dont l’objectif est de surmonter les obstacles qui entravent l’accès au financement des jeunes innovants et porteurs de projets. Autant de raisons qui autorisent l’espoir en un après-crise.
Le gouvernement a, certes, failli à sa mission d’élaborer une vision pragmatique globale, qui répond aux attentes d’une jeunesse que le désarroi pousse vers les extrêmes. Fort heureusement, les élections arrivent…une autre raison d’y croire.
Grâce, toutefois, aux différents programmes initiés par le Souverain, l’espoir reste de mise.
Le Royaume dispose d’une population jeune qui constitue un gage de résilience sanitaire inestimable, mais également une précieuse ressource et un facteur de croissance potentiel de taille, qualifié souvent de « dividende démographique ». Saisir cette opportunité revient à mettre en place les conditions nécessaires à sa valorisation et son insertion dynamique dans le processus de développement du pays.
Raison pour laquelle les questions de la jeunesse sont au cœur de la conception en cours du nouveau modèle de développement, souhaité par SM le Roi.
Ce modèle devrait se traduire par la construction d’infrastructures destinées à assurer aux jeunes formation et qualification, la mise en place d’un «Programme intégré d’appui et de financement des entreprises» dont l’objectif est de surmonter les obstacles qui entravent l’accès au financement des jeunes innovants et porteurs de projets. Autant de raisons qui autorisent l’espoir en un après-crise.
Le gouvernement a, certes, failli à sa mission d’élaborer une vision pragmatique globale, qui répond aux attentes d’une jeunesse que le désarroi pousse vers les extrêmes. Fort heureusement, les élections arrivent…une autre raison d’y croire.
Saâd JAFRI