Un an après la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara, plusieurs avancées ont été comptabilisées à l’actif du Royaume. Des pays qui, autrefois, avaient des relations éloignées, floues, voire hostiles à l’égard du Maroc, revoient aujourd’hui leurs cartes dans la perspective de se niveler à la vision du Maroc sur bon nombre de questions stratégiques, dont le dossier du Sahara qui se positionne au sommet des priorités.
L’Allemagne qui, au lendemain de la déclaration américaine, a exhibé son attitude dualiste, allant jusqu’à convoquer une réunion d’urgence au Conseil de Sécurité de l’ONU, émet aujourd’hui des signaux forts, traduisant ainsi sa volonté d’emprunter la voie de l’apaisement avec le Maroc, comme en témoignent les propos officiels de sa diplomatie que vous lirez sur nos colonnes.
Cette initiative, qui s’affiche à la faveur de changement du gouvernement et de chancelier, et sur laquelle la diplomatie marocaine ne s’est pas encore prononcée, vient s’ajouter aux positions, certes timides mais révélatrices, de certains pays qui ont longtemps joué sur les deux rives du contentieux entre le Maroc et l’Algérie, mais qui, aujourd’hui, s’alignent de plus en plus à la cause marocaine, sous le voile de la reconnaissance du plan d’autonomie proposé par le Royaume pour ses provinces du Sud.
Ce genre de basculement pourrait également générer l’alignement d’autres Etats plus imposants et plus influents au sein du Conseil de Sécurité, tels que le Royaume-Uni ou encore la Chine qui ont soutenu la Résolution 2602, vote qui a eu l’effet d’une douche glaciale pour le régime algérien et Abdelmadjid Tebboune, porte-parole des généraux algériens et néanmoins président de l’Algérie pour leur compte.
C’est dire qu’il y a un nouveau paradigme qui émerge doucement, mais sûrement, au sein de la communauté internationale. Et si certains pays campent toujours sur leurs positions d’équilibristes – désormais réfutées par le Maroc –, la clarté pourrait venir du bloc anglo-saxon et des pays d’Europe centrale, qui multiplient les réunions au sein des directions de la diplomatie marocaine et dont certaines composantes, inscrites dans une logique pragmatique, ont d’ores et déjà jeté leurs dés, optant pour des accords et des partenariats fructueux et rentables pour les deux côtés.
C’est comme si la décision de l’ex-président américain était le détonateur de l’explosion des initiatives diplomatiques, qui ne font que conforter l’image du Maroc comme pays «sérieux, crédible et réaliste». Il ne faut donc pas s’étonner de voir les généraux d’un voisin hostile se mordre les doigts!
L’Allemagne qui, au lendemain de la déclaration américaine, a exhibé son attitude dualiste, allant jusqu’à convoquer une réunion d’urgence au Conseil de Sécurité de l’ONU, émet aujourd’hui des signaux forts, traduisant ainsi sa volonté d’emprunter la voie de l’apaisement avec le Maroc, comme en témoignent les propos officiels de sa diplomatie que vous lirez sur nos colonnes.
Cette initiative, qui s’affiche à la faveur de changement du gouvernement et de chancelier, et sur laquelle la diplomatie marocaine ne s’est pas encore prononcée, vient s’ajouter aux positions, certes timides mais révélatrices, de certains pays qui ont longtemps joué sur les deux rives du contentieux entre le Maroc et l’Algérie, mais qui, aujourd’hui, s’alignent de plus en plus à la cause marocaine, sous le voile de la reconnaissance du plan d’autonomie proposé par le Royaume pour ses provinces du Sud.
Ce genre de basculement pourrait également générer l’alignement d’autres Etats plus imposants et plus influents au sein du Conseil de Sécurité, tels que le Royaume-Uni ou encore la Chine qui ont soutenu la Résolution 2602, vote qui a eu l’effet d’une douche glaciale pour le régime algérien et Abdelmadjid Tebboune, porte-parole des généraux algériens et néanmoins président de l’Algérie pour leur compte.
C’est dire qu’il y a un nouveau paradigme qui émerge doucement, mais sûrement, au sein de la communauté internationale. Et si certains pays campent toujours sur leurs positions d’équilibristes – désormais réfutées par le Maroc –, la clarté pourrait venir du bloc anglo-saxon et des pays d’Europe centrale, qui multiplient les réunions au sein des directions de la diplomatie marocaine et dont certaines composantes, inscrites dans une logique pragmatique, ont d’ores et déjà jeté leurs dés, optant pour des accords et des partenariats fructueux et rentables pour les deux côtés.
C’est comme si la décision de l’ex-président américain était le détonateur de l’explosion des initiatives diplomatiques, qui ne font que conforter l’image du Maroc comme pays «sérieux, crédible et réaliste». Il ne faut donc pas s’étonner de voir les généraux d’un voisin hostile se mordre les doigts!
Saâd JAFRI