Le marqueur le plus évident du discours prononcé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI à l’occasion de l’ouverture de la 11ème législature est sans nul doute son ton optimiste et porteur d’espoir. L’espoir d’abord d’une sortie imminente de l’actuelle crise pandémique qui a plongé le Maroc, comme le reste du monde, dans une situation de psychose sanitaire où il a fallu redoubler d’efforts, de sacrifices, d’engagement et d’ingéniosité afin d’éviter à notre pays l’hécatombe.
L’espoir ensuite d’une relance économique rapide à même d’extirper le Royaume des griffes d’une récession planétaire face à laquelle seuls les Etats les plus résilients et les mieux organisés ont pu s’en sortir avec un taux maîtrisable de casse et de dégâts. Et dans ce registre, force est d’admettre qu’en plus d’une implication Royale efficiente aussi bien sur le plan économique que social, qui a permis d’atténuer les effets de la crise sur les franges les plus vulnérables, mais également sur des secteurs clés de notre économie qui menaçaient ruine, le Maroc a profité d’une pluviométrie clémente et favorable, conjuguée au maintien et au renforcement des transferts en devises de sa diaspora, plus que jamais solidaire.
En parallèle, le pays a su faire preuve d’une audace inédite en termes de captation d’investissements étrangers et de maintien de ses parts de marchés à l’international, en dépit d’un contexte géopolitique tendu marqué par le retour en force du protectionnisme et du souverainisme. Ce qui autorise aujourd’hui l’espoir d’une croissance économique aussi inattendue que salutaire en ces temps de crise internationale.
L’autre motif de satisfaction et d’optimisme est l’excellent déroulement des dernières élections qui ont permis un renouvellement total de la classe dirigeante et représentative, dans un réel esprit d’engagement populaire et d’alternance démocratique qui n’étaient pas du tout acquis en cette période dominée par les soubresauts politiques. Survenue à un moment charnière de l’Histoire de notre pays qui s’apprête à déployer son Nouveau Modèle de Développement, cette conjonction d’éléments et d’événements favorables doit maintenant être saisie au vol, comme une opportunité réelle pour l’ancrage du Maroc dans une trajectoire ascendante et conquérante.
L’espoir ensuite d’une relance économique rapide à même d’extirper le Royaume des griffes d’une récession planétaire face à laquelle seuls les Etats les plus résilients et les mieux organisés ont pu s’en sortir avec un taux maîtrisable de casse et de dégâts. Et dans ce registre, force est d’admettre qu’en plus d’une implication Royale efficiente aussi bien sur le plan économique que social, qui a permis d’atténuer les effets de la crise sur les franges les plus vulnérables, mais également sur des secteurs clés de notre économie qui menaçaient ruine, le Maroc a profité d’une pluviométrie clémente et favorable, conjuguée au maintien et au renforcement des transferts en devises de sa diaspora, plus que jamais solidaire.
En parallèle, le pays a su faire preuve d’une audace inédite en termes de captation d’investissements étrangers et de maintien de ses parts de marchés à l’international, en dépit d’un contexte géopolitique tendu marqué par le retour en force du protectionnisme et du souverainisme. Ce qui autorise aujourd’hui l’espoir d’une croissance économique aussi inattendue que salutaire en ces temps de crise internationale.
L’autre motif de satisfaction et d’optimisme est l’excellent déroulement des dernières élections qui ont permis un renouvellement total de la classe dirigeante et représentative, dans un réel esprit d’engagement populaire et d’alternance démocratique qui n’étaient pas du tout acquis en cette période dominée par les soubresauts politiques. Survenue à un moment charnière de l’Histoire de notre pays qui s’apprête à déployer son Nouveau Modèle de Développement, cette conjonction d’éléments et d’événements favorables doit maintenant être saisie au vol, comme une opportunité réelle pour l’ancrage du Maroc dans une trajectoire ascendante et conquérante.
Majd EL ATOUABI
