Alors que les ballons d’essai s’accumulaient à l’horizon, faisant miroiter l’éventualité de la constitution d’un exécutif technocratique pour sortir le pays de la crise du coronavirus et de ses multiples répercussions économiques, politiques et sociales, l’Istiqlal vient de signifier son attachement inébranlable à la démocratie et son rejet ferme de toute autre alternative visant à contrecarrer la libre expression du peuple marocain quant au choix de ses gouvernants.
Cette position, claire et sans ambages, a été exprimée par la voix de la plus haute instance décisionnelle du parti, le Comité Exécutif, lui-même incarnation et émanation de ce processus démocratique qui caractérise le fonctionnement interne de l’Istiqlal.
L’attitude du parti de l’Istiqlal révèle sa foi en l’avenir du pays et sa confiance en la maturité politique des marocains. Cette attitude ne découle pas seulement de convictions idéologiques ancrées dans l’ADN du parti, elle résulte également de l’analyse pragmatique d’un vécu lointain et récent.
Le passé du pays témoigne en effet que le Maroc n’a jamais été aussi fort que lors des épisodes où ses institutions politiques fonctionnaient normalement dans une saine répartition des prérogatives et des pouvoirs entre exécutif, judiciaire et législatif.
Plus récemment, l’expérience de la pandémie du coronavirus nous a révélé que les institutions législatives du pays peuvent fonctionner en tout temps et en toutes circonstances pourvu qu’on leur laisse la pleine jouissance de la confiance et de la légitimité gagnées à l’épreuve des urnes.
Cette même pandémie a enfin révélé une facette mésestimée du peuple marocain qui a fait montre d’une responsabilité et d’une énergie sans commune mesure avec la nonchalance et le désengagement qu’on lui a souvent prêtés par erreur.
N’en déplaise donc à ceux qui pensent le contraire, il n’y a pas de biais plus pertinent pour canaliser cette énergie et cet engagement que celui traditionnel et naturel de l’implication politique à travers les formations partisanes et les urnes.
Cette position, claire et sans ambages, a été exprimée par la voix de la plus haute instance décisionnelle du parti, le Comité Exécutif, lui-même incarnation et émanation de ce processus démocratique qui caractérise le fonctionnement interne de l’Istiqlal.
L’attitude du parti de l’Istiqlal révèle sa foi en l’avenir du pays et sa confiance en la maturité politique des marocains. Cette attitude ne découle pas seulement de convictions idéologiques ancrées dans l’ADN du parti, elle résulte également de l’analyse pragmatique d’un vécu lointain et récent.
Le passé du pays témoigne en effet que le Maroc n’a jamais été aussi fort que lors des épisodes où ses institutions politiques fonctionnaient normalement dans une saine répartition des prérogatives et des pouvoirs entre exécutif, judiciaire et législatif.
Plus récemment, l’expérience de la pandémie du coronavirus nous a révélé que les institutions législatives du pays peuvent fonctionner en tout temps et en toutes circonstances pourvu qu’on leur laisse la pleine jouissance de la confiance et de la légitimité gagnées à l’épreuve des urnes.
Cette même pandémie a enfin révélé une facette mésestimée du peuple marocain qui a fait montre d’une responsabilité et d’une énergie sans commune mesure avec la nonchalance et le désengagement qu’on lui a souvent prêtés par erreur.
N’en déplaise donc à ceux qui pensent le contraire, il n’y a pas de biais plus pertinent pour canaliser cette énergie et cet engagement que celui traditionnel et naturel de l’implication politique à travers les formations partisanes et les urnes.
Majd EL ATOUABI