Cette année « covidienne » a connu la réussite d’un total de 196.664 candidats scolarisés de l’enseignement public et privé à l’examen national unifié du baccalauréat. Ces bacheliers nouvellement auréolés sont issus d’une génération qui a rejoint les bancs de l’école à l’ouverture de l’année scolaire 2007-2008.
A l’époque, ce sont environ un demi-million d’élèves qui étaient inscrits sur les registres de la première année primaire ou le CP (cours préparatoire). Après douze ans de dur labeur (six années passées au primaire, trois au collège et autant au lycée), ces élèves décrochent enfin le précieux sésame « BAC » qui leur ouvre d’autres horizons. Cependant, plusieurs questions s’imposent : Où sont passés 300 mille élèves ? Que sont-ils devenus maintenant ? Pour-quoi ils n’ont pas pu poursuivre leurs études ?
Quelles sont les raisons qui ont poussé ces élèves à abandonner l’école ? Cet abandon scolaire, surtout dans le monde rural, menace des milliers d’élèves marocains. Ces derniers sont obligés de quitter les bancs de l’école avant l’obtention d’un certificat d’études ni même l’achèvement des cycles de l’enseignement obligatoire (primaire et secondaire collégial).A vrai dire, le décrochage scolaire n’est pas la seule raison, mais il y a d’autres lacunes et défaillances qui font que les déperditions scolaire et universitaire affichent des chiffres à vous faire douter de la fiabilité de notre système éducatif. Un système qu’il faut revoir de fond en comble, à commencer par la base qu’est le primaire.
A l’époque, ce sont environ un demi-million d’élèves qui étaient inscrits sur les registres de la première année primaire ou le CP (cours préparatoire). Après douze ans de dur labeur (six années passées au primaire, trois au collège et autant au lycée), ces élèves décrochent enfin le précieux sésame « BAC » qui leur ouvre d’autres horizons. Cependant, plusieurs questions s’imposent : Où sont passés 300 mille élèves ? Que sont-ils devenus maintenant ? Pour-quoi ils n’ont pas pu poursuivre leurs études ?
Quelles sont les raisons qui ont poussé ces élèves à abandonner l’école ? Cet abandon scolaire, surtout dans le monde rural, menace des milliers d’élèves marocains. Ces derniers sont obligés de quitter les bancs de l’école avant l’obtention d’un certificat d’études ni même l’achèvement des cycles de l’enseignement obligatoire (primaire et secondaire collégial).A vrai dire, le décrochage scolaire n’est pas la seule raison, mais il y a d’autres lacunes et défaillances qui font que les déperditions scolaire et universitaire affichent des chiffres à vous faire douter de la fiabilité de notre système éducatif. Un système qu’il faut revoir de fond en comble, à commencer par la base qu’est le primaire.