Jamais le mot indépendance n’a résonné aussi fort et aussi intensément qu’en cette période de forte adversité. En plus de sa dimension territoriale, ce terme recouvre désormais la souveraineté politique, économique, sanitaire, alimentaire et énergétique, comme l’a si bien rappelé SM le Roi Mohammed VI lors de son discours inaugural de la 11ème législature.
La préservation de cette réalité irréversible est devenue l’enjeu d’une véritable compétition surtout qu’elle suscite des réactions fébriles chez certains voisins, qui ne ménagent aucun effort pour tenter de faire dérailler le Maroc de la voie du développement et de la prospérité. Car si de nombreux pays ont été complètement ravagés par la crise sanitaire, notamment en matière de fourniture et de distribution des produits de première nécessité, le Royaume a réussi, lui, grâce à une approche Royale sécuritaire préventive et anticipatrice, à gérer et à assurer un approvisionnement amplement suffisant des différents marchés nationaux, limitant ainsi les affres de la pandémie.
Une success-story qui ne peut être qu’enviée par les adversaires du Royaume, vivant au rythme de la tension sociale qui risque d’exploser par simple grattage d’allumette! Cette success-story vient aussi honorer l’épopée menée par le peuple marocain un certain 18 novembre 1955, en parfaite communion avec Feu Mohammed V, qui proclamait la libération du Maroc de l’emprise coloniale et l’instauration d’un État de droit uni et indépendant.
Une vision qui a été consolidée sous l’ère de Feu Hassan II, mais qui est passée à la vitesse supérieure sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI qui a focalisé toutes les énergies sur l’édification d’un Maroc démocratique, moderne et fort, capable d’affronter les véritables problèmes du monde post-moderne. Une vision qui a hissé le Maroc au rang des grandes puissances économiques régionales et qui a fait de lui un partenaire crédible, fiable et incontournable aux yeux de la communauté internationale. Et le meilleur reste à venir.
La préservation de cette réalité irréversible est devenue l’enjeu d’une véritable compétition surtout qu’elle suscite des réactions fébriles chez certains voisins, qui ne ménagent aucun effort pour tenter de faire dérailler le Maroc de la voie du développement et de la prospérité. Car si de nombreux pays ont été complètement ravagés par la crise sanitaire, notamment en matière de fourniture et de distribution des produits de première nécessité, le Royaume a réussi, lui, grâce à une approche Royale sécuritaire préventive et anticipatrice, à gérer et à assurer un approvisionnement amplement suffisant des différents marchés nationaux, limitant ainsi les affres de la pandémie.
Une success-story qui ne peut être qu’enviée par les adversaires du Royaume, vivant au rythme de la tension sociale qui risque d’exploser par simple grattage d’allumette! Cette success-story vient aussi honorer l’épopée menée par le peuple marocain un certain 18 novembre 1955, en parfaite communion avec Feu Mohammed V, qui proclamait la libération du Maroc de l’emprise coloniale et l’instauration d’un État de droit uni et indépendant.
Une vision qui a été consolidée sous l’ère de Feu Hassan II, mais qui est passée à la vitesse supérieure sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI qui a focalisé toutes les énergies sur l’édification d’un Maroc démocratique, moderne et fort, capable d’affronter les véritables problèmes du monde post-moderne. Une vision qui a hissé le Maroc au rang des grandes puissances économiques régionales et qui a fait de lui un partenaire crédible, fiable et incontournable aux yeux de la communauté internationale. Et le meilleur reste à venir.
La Rédaction