Le nouvel Exécutif semble résolu à démarrer son mandat en quatrième vitesse. En l’espace de quelques jours après sa nomination, la nouvelle équipe a tenu son premier Conseil de gouvernement avant de présenter devant les représentants de la Nation son programme pour les 5 prochaines années.
Le Chef du gouvernement s’est ainsi engagé à créer un million d’emplois nets d’ici 2026, à renforcer le taux d’activité des femmes de 10%, à démarrer la protection sociale universelle, à mettre en oeuvre des mesures de protection et d’élargissement de la classe moyenne tout en favorisant l’émergence d’une classe moyenne rurale.
Dans la foulée, il s’est également engagé à remettre à niveau l’ensemble du secteur éducatif avec pour objectif d’atteindre le top 60 mondial ou encore à mettre en place un Fonds spécial dédié à l’Amazigh doté d’un milliard de DH. En plus de cette feuille de route riche en réformes économiques et sociales, la gouvernance n’est pas en reste et l’équipe Akhannouch compte accélérer le processus de régionalisation en transférant plus de compétences aux Conseils régionaux via la signature de contrats-programmes.
Cette mandature devrait ainsi être un point de bascule qui permettra la réalisation des objectifs fixés par le Nouveau Modèle de Développement. Un Modèle qui a, rappelons-le, pour horizon 2035, ce qui signifie que cet Exécutif devra au moins s’acquitter d’un tiers du travail pour respecter ce délai. Pour l’heure, le gouvernement jouit d’une marge de manoeuvre inédite dans l’Histoire politique moderne du Royaume, qui devrait lui faciliter la tâche au moins au niveau du circuit législatif.
La complémentarité entre les programmes respectifs des membres de la majorité devrait également optimiser le rendement du nouveau gouvernement. Preuve en est les engagements pris par l’Istiqlal lors de la campagne électorale que l’on retrouve, pour la plupart, dans le programme gouvernemental. Les astres semblent s’aligner pour ce nouvel Exécutif qui devrait réformer autant que gérer, et dont la mandature devrait transformer l’image du Royaume d’ici 2026. C’est du moins ce qu’espèrent la plupart des Marocains.
Le Chef du gouvernement s’est ainsi engagé à créer un million d’emplois nets d’ici 2026, à renforcer le taux d’activité des femmes de 10%, à démarrer la protection sociale universelle, à mettre en oeuvre des mesures de protection et d’élargissement de la classe moyenne tout en favorisant l’émergence d’une classe moyenne rurale.
Dans la foulée, il s’est également engagé à remettre à niveau l’ensemble du secteur éducatif avec pour objectif d’atteindre le top 60 mondial ou encore à mettre en place un Fonds spécial dédié à l’Amazigh doté d’un milliard de DH. En plus de cette feuille de route riche en réformes économiques et sociales, la gouvernance n’est pas en reste et l’équipe Akhannouch compte accélérer le processus de régionalisation en transférant plus de compétences aux Conseils régionaux via la signature de contrats-programmes.
Cette mandature devrait ainsi être un point de bascule qui permettra la réalisation des objectifs fixés par le Nouveau Modèle de Développement. Un Modèle qui a, rappelons-le, pour horizon 2035, ce qui signifie que cet Exécutif devra au moins s’acquitter d’un tiers du travail pour respecter ce délai. Pour l’heure, le gouvernement jouit d’une marge de manoeuvre inédite dans l’Histoire politique moderne du Royaume, qui devrait lui faciliter la tâche au moins au niveau du circuit législatif.
La complémentarité entre les programmes respectifs des membres de la majorité devrait également optimiser le rendement du nouveau gouvernement. Preuve en est les engagements pris par l’Istiqlal lors de la campagne électorale que l’on retrouve, pour la plupart, dans le programme gouvernemental. Les astres semblent s’aligner pour ce nouvel Exécutif qui devrait réformer autant que gérer, et dont la mandature devrait transformer l’image du Royaume d’ici 2026. C’est du moins ce qu’espèrent la plupart des Marocains.
Amine ATER