En ce mardi 7 septembre, à minuit, les campagnes électorales des différentes formations politiques engagées dans la course aux scrutins communaux, régionaux et législatifs, arrivent à échéance. Pendant 13 jours, du 26 août à ce 7 septembre, on aura vu beaucoup de choses, des meilleures aux pires.
Pour le meilleur, on retiendra le nombre record de candidatures aux élections législatives qui ont atteint 1704 listes pour un total de 6815 candidatures au niveau national, et un total de 1472 listes pour 5046 candidatures au niveau local, tandis qu’au niveau regional il y a eu 1769 candidatures.
Cette ruée vers les candidatures, en dépit du contexte problématique de la crise sanitaire du Covid, rappelle l’engouement enregistré récemment lors des élections professionnelles. Elle témoigne d’un sursaut d’intérêt pour la chose politique dans notre pays, totalement à contre-courant des appels au désengagement et à l’abstentionnisme qui écument les réseaux sociaux depuis plusieurs mois.
Espérons que cette tendance se répercutera également sur le nombre de votants qui doivent garder à l’esprit que parmi ces milliers de postulants et de postulantes à la représentation populaire, la majorité est animée par beaucoup de courage et de nobles intentions, tandis qu’une minorité insignifiante est motivée par l’opportunisme et l’arrivisme. Ne laissons donc pas cette minorité indigne déteindre sur la majorité par la grâce de l’abstentionnisme qui favorise traditionnellement les rapaces de la politique, ceux qui déploient une débauche de moyens pour arriver à leurs fins. Ce qui nous amène à parler du pire. Et dans ce registre, on déplorera les excès de certains candidats et de certaines formations qui se sont traduits par l’usage excessif de l’argent et des fausses promesses, ainsi que par le retour de certains ténors du populisme.
On déplorera aussi les tentatives d’intimidation et de dissuasion à travers le déploiement de légions de malabars mandatés pour semer chaos, peur et confusion, parmi les concurrents et la population.
On regrettera enfin les tentatives de manipulation de l’opinion publique nationale à travers l’engagement de médias mercenaires, « embedded » ou carrément « undercover », missionnés pour désinformer et diffamer à tout-va, quitte à se déshonorer et déshonorer leur noble profession.
A tous ceux-là qui espèrent un taux record d’abstentionnisme à même de leur laisser champ et mains libres, la meilleure réponse à opposer est le vote et l’expression de la volonté du peuple via les urnes.
Pour le meilleur, on retiendra le nombre record de candidatures aux élections législatives qui ont atteint 1704 listes pour un total de 6815 candidatures au niveau national, et un total de 1472 listes pour 5046 candidatures au niveau local, tandis qu’au niveau regional il y a eu 1769 candidatures.
Cette ruée vers les candidatures, en dépit du contexte problématique de la crise sanitaire du Covid, rappelle l’engouement enregistré récemment lors des élections professionnelles. Elle témoigne d’un sursaut d’intérêt pour la chose politique dans notre pays, totalement à contre-courant des appels au désengagement et à l’abstentionnisme qui écument les réseaux sociaux depuis plusieurs mois.
Espérons que cette tendance se répercutera également sur le nombre de votants qui doivent garder à l’esprit que parmi ces milliers de postulants et de postulantes à la représentation populaire, la majorité est animée par beaucoup de courage et de nobles intentions, tandis qu’une minorité insignifiante est motivée par l’opportunisme et l’arrivisme. Ne laissons donc pas cette minorité indigne déteindre sur la majorité par la grâce de l’abstentionnisme qui favorise traditionnellement les rapaces de la politique, ceux qui déploient une débauche de moyens pour arriver à leurs fins. Ce qui nous amène à parler du pire. Et dans ce registre, on déplorera les excès de certains candidats et de certaines formations qui se sont traduits par l’usage excessif de l’argent et des fausses promesses, ainsi que par le retour de certains ténors du populisme.
On déplorera aussi les tentatives d’intimidation et de dissuasion à travers le déploiement de légions de malabars mandatés pour semer chaos, peur et confusion, parmi les concurrents et la population.
On regrettera enfin les tentatives de manipulation de l’opinion publique nationale à travers l’engagement de médias mercenaires, « embedded » ou carrément « undercover », missionnés pour désinformer et diffamer à tout-va, quitte à se déshonorer et déshonorer leur noble profession.
A tous ceux-là qui espèrent un taux record d’abstentionnisme à même de leur laisser champ et mains libres, la meilleure réponse à opposer est le vote et l’expression de la volonté du peuple via les urnes.
Majd EL ATOUABI