Au lendemain du coup d’envoi de la première phase du chantier de généralisation de la couverture sociale au profit de tous les Marocains, Sa Majesté le Roi Mohammed VI ordonnait l’envoi d’une aide consistante, sur ses fonds propres, au profit du peuple libanais frère et de ses forces armées. Aussitôt, les deux premiers avions-cargos militaires, sur un total de huit, devant acheminer 90 tonnes de denrées alimentaires et de produits de première nécessité, prenaient leur envol vers l’aéroport Rafic Hariri de Beyrouth où ils atterrissaient dans la matinée du samedi.
Frappé de plein fouet par les effets économiques de la pandémie, conjugués aux aléas d’une conjoncture géopolitique des plus défavorables marquée par les spasmes du conflit syrien et les ingérences iraniennes via son bras armé, la milice chiite du Hezbollah, le Liban, petit Etat mais grande nation du Proche-Orient, paie plus que jamais le contrecoup de sa situation géographique explosive au centre d’une zone historique de guerres d’influence, de religions et de civilisations.
L’aide Royale au profit de ce pays ami réputé pour l’ingéniosité et la débrouillardise de son peuple, avec lequel le Maroc entretient des relations historiques, fraternelles et quasi-familiales, depuis le gouvernement El Solh, s’inscrit en continuité de toutes les marques de compassion et de sympathie exprimées par le Royaume dans le passé. La plus récente étant l’aide humanitaire, médicale et logistique débloquée par le Maroc, également sur instructions royales, au lendemain de la désastreuse explosion de Beyrouth au début du mois d’août 2020 et qui s’est prolongée sous la forme d’un hôpital militaire de campagne, trois mois durant.
Ces actions spontanées, animées par ce noble altruisme dont le Maroc a toujours su faire preuve dans les moments difficiles, découlent d’une longue tradition humaniste perpétuée par nos Rois de génération en génération. Elles confortent l’image d’un Royaume empathique et fidèle en amitié, qui n’a jamais hésité à aller au chevet de ses amis qu’ils soient proches ou lointains, lorsqu’ils sont face à l’adversité.
Ce fut le cas pour l’Algérie de l’émir Abdelkader aux prémices de sa colonisation, jusqu’à son indépendance. Ce fut également le cas de la Tunisie que le Roi Mohammed VI avait tenu à visiter, par solidarité, à une période critique de son Histoire où les braises d’une révolution aux allures de révolte n’étaient pas encore éteintes. Comme ce fut enfin le cas du Qatar lorsqu’il était sous embargo.
Frappé de plein fouet par les effets économiques de la pandémie, conjugués aux aléas d’une conjoncture géopolitique des plus défavorables marquée par les spasmes du conflit syrien et les ingérences iraniennes via son bras armé, la milice chiite du Hezbollah, le Liban, petit Etat mais grande nation du Proche-Orient, paie plus que jamais le contrecoup de sa situation géographique explosive au centre d’une zone historique de guerres d’influence, de religions et de civilisations.
L’aide Royale au profit de ce pays ami réputé pour l’ingéniosité et la débrouillardise de son peuple, avec lequel le Maroc entretient des relations historiques, fraternelles et quasi-familiales, depuis le gouvernement El Solh, s’inscrit en continuité de toutes les marques de compassion et de sympathie exprimées par le Royaume dans le passé. La plus récente étant l’aide humanitaire, médicale et logistique débloquée par le Maroc, également sur instructions royales, au lendemain de la désastreuse explosion de Beyrouth au début du mois d’août 2020 et qui s’est prolongée sous la forme d’un hôpital militaire de campagne, trois mois durant.
Ces actions spontanées, animées par ce noble altruisme dont le Maroc a toujours su faire preuve dans les moments difficiles, découlent d’une longue tradition humaniste perpétuée par nos Rois de génération en génération. Elles confortent l’image d’un Royaume empathique et fidèle en amitié, qui n’a jamais hésité à aller au chevet de ses amis qu’ils soient proches ou lointains, lorsqu’ils sont face à l’adversité.
Ce fut le cas pour l’Algérie de l’émir Abdelkader aux prémices de sa colonisation, jusqu’à son indépendance. Ce fut également le cas de la Tunisie que le Roi Mohammed VI avait tenu à visiter, par solidarité, à une période critique de son Histoire où les braises d’une révolution aux allures de révolte n’étaient pas encore éteintes. Comme ce fut enfin le cas du Qatar lorsqu’il était sous embargo.