L’ancien président algérien, Abdelaziz Bouteflika est décédé, ce vendredi 17 septembre, a annoncé TSA, citant un communiqué de la Présidence de la République, sans pour autant préciser la cause. Bouteflika fut gravement malade et sous surveillance médicale depuis des années, surtout après sa chute aussi spectaculaire qu’inattendue de la présidence.
Omniprésent dans la vie politique algérienne durant des décennies, mais devenu quasi invisible depuis un accident vasculaire cérébral (AVC) en 2013, Bouteflika avait complétement disparu des radars depuis que la rue l’a poussé à la démission, le 2 avril 2019, après près de 20 ans de règne. Ce jour-là, il apparaît pour la dernière fois à la télévision pour annoncer qu’il jette l’éponge, après avoir tenté de s’accrocher coûte que coûte, contre toutes les évidences. Sa chute était devenue inéluctable après des semaines de manifestations massives contre sa volonté de briguer un cinquième quinquennat.
Depuis sa retraite forcée, la justice algérienne a ouvert une flopée d’enquêtes pour faits de corruption et condamné et/ou incarcéré d’anciens politiciens et influents hommes d’affaires accusés d’avoir profité de leurs liens privilégiés avec Bouteflika.
Il à noter qu'avant d'entamer sa carrière présidentielle, le défunt qui est né le 2 mars 1937 au Maroc, dans la ville d’Oujda, avait occupé plusieurs postes ministériels dans les années 60, sachant qu’il était ministre de la Jeunesse, des Sports et du Tourisme dans le premier gouvernement Ahmed Ben Bella, avant de devenir Chef de la diplomatie algérienne de 1963 à 1979, à l’époque du président Houari Boumediane.
Développement suivra....
Omniprésent dans la vie politique algérienne durant des décennies, mais devenu quasi invisible depuis un accident vasculaire cérébral (AVC) en 2013, Bouteflika avait complétement disparu des radars depuis que la rue l’a poussé à la démission, le 2 avril 2019, après près de 20 ans de règne. Ce jour-là, il apparaît pour la dernière fois à la télévision pour annoncer qu’il jette l’éponge, après avoir tenté de s’accrocher coûte que coûte, contre toutes les évidences. Sa chute était devenue inéluctable après des semaines de manifestations massives contre sa volonté de briguer un cinquième quinquennat.
Depuis sa retraite forcée, la justice algérienne a ouvert une flopée d’enquêtes pour faits de corruption et condamné et/ou incarcéré d’anciens politiciens et influents hommes d’affaires accusés d’avoir profité de leurs liens privilégiés avec Bouteflika.
Il à noter qu'avant d'entamer sa carrière présidentielle, le défunt qui est né le 2 mars 1937 au Maroc, dans la ville d’Oujda, avait occupé plusieurs postes ministériels dans les années 60, sachant qu’il était ministre de la Jeunesse, des Sports et du Tourisme dans le premier gouvernement Ahmed Ben Bella, avant de devenir Chef de la diplomatie algérienne de 1963 à 1979, à l’époque du président Houari Boumediane.
Développement suivra....