L'imam Hassan Iquioussen, fiché "S" et accusé par le ministre de l'intérieur de tenir "des propos incitant à la haine", l'imam est visé par un arrêté d'expulsion de la France depuis le 28 juillet. Depuis, son affaire n'a eu cesse de scuciter l'attention des médias.
Le Conseil d'État français a validé fin août son expulsion vers le Royaume. Cette décision a été ensuite suspendue, début août, par le tribunal administratif de Paris, qui estimait qu'elle porterait une "atteinte disproportionnée" à la "vie privée et familiale" de l'imam.
Le Maroc, rappelons-le, avait accordé un laissez-passer à l'imam, en vue de son rapatriement au Maroc, mais après, les autorités marocaines compétentes ont ensuite suspendu le.laisser_ -passer consulaire, faute de renseignements suffisantssur l'imam.
Le Conseil d'État français a validé fin août son expulsion vers le Royaume. Cette décision a été ensuite suspendue, début août, par le tribunal administratif de Paris, qui estimait qu'elle porterait une "atteinte disproportionnée" à la "vie privée et familiale" de l'imam.
Le Maroc, rappelons-le, avait accordé un laissez-passer à l'imam, en vue de son rapatriement au Maroc, mais après, les autorités marocaines compétentes ont ensuite suspendu le.laisser_ -passer consulaire, faute de renseignements suffisantssur l'imam.