Cette première édition connaîtra la participation de 12 longs-métrages et 18 courts-métrages, issus d'une trentaine de pays et ayant sorti entre 2019 et 2021, indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Bien que l’incertitude liée à la reprise des manifestations en présentiel reste d’actualité, une adoption digitale de cette première édition du FICIC a été adoptée, par la diffusion gratuite des films en lice sur la plateforme du Festival, à savoir www.ficic.casablanca.com, fait savoir la même source.
Le jury de cette première édition, présidé par le réalisateur, scénariste et producteur français Manuel Sanchez, est composé de la critique de cinéma syrienne Randa Al Rahwanji, de l’actrice marocaine Nezha Rahil, de la journaliste et chargée de programmation française Isabelle Buron, du poète et directeur artistique du Festival Saoudien du film Aflam Saudi (Saudi Film Festival), Ahmed Al Mulla et de l’acteur haïtien Jimmy Jean-Louis.
En plus des prix classiques, cette édition est rehaussée par la création d’un prix spécial, en hommage à la ville de Casablanca portant le nom de «Anfa», a tenu à préciser le communiqué.
Le festival est une occasion pour promouvoir le cinéma indépendant et lui redonner un nouveau souffle, en cette période de crise d'art, accentuée par l'impact de la pandémie du coronavirus, qui a mis à mal tout un secteur essentiel, conclut le communiqué.
Bien que l’incertitude liée à la reprise des manifestations en présentiel reste d’actualité, une adoption digitale de cette première édition du FICIC a été adoptée, par la diffusion gratuite des films en lice sur la plateforme du Festival, à savoir www.ficic.casablanca.com, fait savoir la même source.
Le jury de cette première édition, présidé par le réalisateur, scénariste et producteur français Manuel Sanchez, est composé de la critique de cinéma syrienne Randa Al Rahwanji, de l’actrice marocaine Nezha Rahil, de la journaliste et chargée de programmation française Isabelle Buron, du poète et directeur artistique du Festival Saoudien du film Aflam Saudi (Saudi Film Festival), Ahmed Al Mulla et de l’acteur haïtien Jimmy Jean-Louis.
En plus des prix classiques, cette édition est rehaussée par la création d’un prix spécial, en hommage à la ville de Casablanca portant le nom de «Anfa», a tenu à préciser le communiqué.
Le festival est une occasion pour promouvoir le cinéma indépendant et lui redonner un nouveau souffle, en cette période de crise d'art, accentuée par l'impact de la pandémie du coronavirus, qui a mis à mal tout un secteur essentiel, conclut le communiqué.