GEFF II est une ligne de financement de l’énergie durable dédiée aux entreprises marocaines, mise en place par la BERD avec le soutien de l’Union européenne (UE) et le Fonds vert pour le climat, dans l’objectif d’assurer des financements additionnels en faveur des investissements verts des entreprises privées notamment dans l’énergie durable, la conservation de l’eau, la réduction des déchets, les technologies vertes ainsi que l’adaptation au changement climatique.
A cette occasion, la directrice générale de la BERD pour la région Sud et Est de la Méditerranée (SEMED), Heike Harmgart, a annoncé qu’il s’agit du troisième programme de financement vert lancé par la BERD au Maroc et se veut une véritable preuve du succès des programmes précédents.
En effet, le programme vise à développer et à améliorer la compétitivité des entreprises marocaines tout en réduisant les émissions de dioxyde de carbone (CO2), a ajouté Heike Harmgart. D’ailleurs, le programme permettrait une grande implication du secteur privé et la transition du Maroc vers une économie résiliente, à faibles émissions et écologiquement durable, a-t-elle noté.
Pour sa part, le secrétaire général du ministère de la Transition Énergétique et du Développement Durable, Mohamed Benyahya, a relevé que le lancement de cette ligne de financement vient à point nommé, eu égard à la dynamique que connait le Maroc en matière d’environnement et de développement durable, et la nécessité d’une relance verte inclusive de l’économie après la crise du Covid-19.
Cette ligne de financement vient consolider davantage les acquis et contribuer aux efforts menés par le Maroc pour libérer le potentiel économique et redynamiser le secteur privé marocain, a ajouté Mohamed Benyahya.
De son côté, le chef adjoint de la délégation de l’UE au Maroc, Alessio Capellani, a annoncé que la transition vers l’économie verte nécessite un accompagnement en conseil pour permettre aux banques partenaires d’encadrer les petites et moyennes entreprises.
Alesso Capellani a par ailleurs souligné que le Maroc est un partenaire clé de l’UE dans la démarche de lutte contre le changement climatique grâce à son ambitieuse politique climatique et énergétique, rappelant le partenariat vert entre l’UE et le Maroc qui détaille l’ambition commune sur le climat, l’environnement et l’économie verte.
De leur part, les différentes banques partenaires dans ce projet ont exprimé leur confiance au développement de l’économie verte. M.Fayçal Chelly représentant de la BMCI a indiqué qu’« en profitant doublement d’un contexte favorable à savoir la politique du groupe Paribas qui repose sur le développement durable comme axe stratégie ainsi que le cadre législatif très incitateur du Maroc dans ce sens ». L’expérience de la BMCI avec la BERED remonte d’ailleurs à 2019 et concerne une vingtaine de projet en lien avec l’économie verte.
Pour sa part, Ali Chorfi, Directeur général adjoint en charge du Corporate au Crédit du Maroc déclare que « L’urgence climatique s’impose de plus en plus même au niveau des PME. Ainsi, il faut considérer la transition énergétique au-delà d’une nécessité. C’est d’ailleurs une opportunité pour les bailleurs de fonds pour œuvrer en faveur de la finance verte ».
Doté d’une enveloppe de 163 millions d’euros, le programme repose sur une approche guichet unique comprenant un financement par prêt ou leasing par l’intermédiaire d’une institution financière, une assistance technique gratuite ainsi qu’une subvention à l’investissement de 10% du financement éligible, reçue après la vérification du projet.
A cette occasion, la directrice générale de la BERD pour la région Sud et Est de la Méditerranée (SEMED), Heike Harmgart, a annoncé qu’il s’agit du troisième programme de financement vert lancé par la BERD au Maroc et se veut une véritable preuve du succès des programmes précédents.
En effet, le programme vise à développer et à améliorer la compétitivité des entreprises marocaines tout en réduisant les émissions de dioxyde de carbone (CO2), a ajouté Heike Harmgart. D’ailleurs, le programme permettrait une grande implication du secteur privé et la transition du Maroc vers une économie résiliente, à faibles émissions et écologiquement durable, a-t-elle noté.
Pour sa part, le secrétaire général du ministère de la Transition Énergétique et du Développement Durable, Mohamed Benyahya, a relevé que le lancement de cette ligne de financement vient à point nommé, eu égard à la dynamique que connait le Maroc en matière d’environnement et de développement durable, et la nécessité d’une relance verte inclusive de l’économie après la crise du Covid-19.
Cette ligne de financement vient consolider davantage les acquis et contribuer aux efforts menés par le Maroc pour libérer le potentiel économique et redynamiser le secteur privé marocain, a ajouté Mohamed Benyahya.
De son côté, le chef adjoint de la délégation de l’UE au Maroc, Alessio Capellani, a annoncé que la transition vers l’économie verte nécessite un accompagnement en conseil pour permettre aux banques partenaires d’encadrer les petites et moyennes entreprises.
Alesso Capellani a par ailleurs souligné que le Maroc est un partenaire clé de l’UE dans la démarche de lutte contre le changement climatique grâce à son ambitieuse politique climatique et énergétique, rappelant le partenariat vert entre l’UE et le Maroc qui détaille l’ambition commune sur le climat, l’environnement et l’économie verte.
De leur part, les différentes banques partenaires dans ce projet ont exprimé leur confiance au développement de l’économie verte. M.Fayçal Chelly représentant de la BMCI a indiqué qu’« en profitant doublement d’un contexte favorable à savoir la politique du groupe Paribas qui repose sur le développement durable comme axe stratégie ainsi que le cadre législatif très incitateur du Maroc dans ce sens ». L’expérience de la BMCI avec la BERED remonte d’ailleurs à 2019 et concerne une vingtaine de projet en lien avec l’économie verte.
Pour sa part, Ali Chorfi, Directeur général adjoint en charge du Corporate au Crédit du Maroc déclare que « L’urgence climatique s’impose de plus en plus même au niveau des PME. Ainsi, il faut considérer la transition énergétique au-delà d’une nécessité. C’est d’ailleurs une opportunité pour les bailleurs de fonds pour œuvrer en faveur de la finance verte ».
Doté d’une enveloppe de 163 millions d’euros, le programme repose sur une approche guichet unique comprenant un financement par prêt ou leasing par l’intermédiaire d’une institution financière, une assistance technique gratuite ainsi qu’une subvention à l’investissement de 10% du financement éligible, reçue après la vérification du projet.