Pekka Haavisto (ministre finlandais des Affaires étrangères), Jens Stoltenberg (secrétaire général de l’Otan) et Ann Linde (ministre suédoise des Affaires étrangères)
Après de longs échanges et négociations lancés depuis mi-mai, Ankara lève son veto en permettant, ainsi, à la Finlande et la Suède de continuer le processus d’adhésion à l’OTAN. Si la Turquie a accepté, en échange, les deux pays ne lui imposeront pas d'embargo.
« À 32, nous serons encore plus forts, au moment où nous faisons face à la plus grave crise sécuritaire depuis des décennies. Après des semaines de pourparlers intenses sur des préoccupations de sécurité posées par la Turquie, un terrain d'entente a été trouvé et le sommet de Madrid a invité les deux candidats à rejoindre l'Otan », a rappelé Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l'Alliance.
Au cas où les membres de l’organisation ne ratifient pas leur adhésion, les deux pays scandinaves ne bénéficieront pas de l’article 5. Il est à rappeler que cet article est l’un des principes fondamentaux de l’organisation et qui est lié à la défense collective, selon laquelle si un allié subi un acte de violence, les autres membres agiront pour apporter une assistance au pays attaqué.
« À 32, nous serons encore plus forts, au moment où nous faisons face à la plus grave crise sécuritaire depuis des décennies. Après des semaines de pourparlers intenses sur des préoccupations de sécurité posées par la Turquie, un terrain d'entente a été trouvé et le sommet de Madrid a invité les deux candidats à rejoindre l'Otan », a rappelé Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l'Alliance.
Au cas où les membres de l’organisation ne ratifient pas leur adhésion, les deux pays scandinaves ne bénéficieront pas de l’article 5. Il est à rappeler que cet article est l’un des principes fondamentaux de l’organisation et qui est lié à la défense collective, selon laquelle si un allié subi un acte de violence, les autres membres agiront pour apporter une assistance au pays attaqué.