S’exprimant lors de cette rencontre sur la stratégie 2021-2026 du ministère et des établissements y relevant, Mme Hayar a affirmé que la convergence entre les différentes parties intéressées par les questions sociales constitue le meilleur moyen pour assurer l'efficacité et l'efficience de l'ingénierie sociale que le ministère de tutelle souhaite réaliser.
Rappelant les grands axes de cette stratégie, la ministre a indiqué que la vision initiale de celle-ci est basée sur les principes du nouveau modèle de développement lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et qui a établi que la réduction des disparités sociales passe notamment par la lutte contre les disparités territoriales, de même qu'il a insisté sur l'égalité des chances, le renforcement des capacités de l'élément humain, la valorisation de la cohésion et des liens sociaux.
Mme Hayar a également indiqué que cette stratégie a adopté une approche participative, la convergence et la digitalisation avec pour objectifs d'élargir le nombre de bénéficiaires et de faciliter l'accès aux services sociaux, saluant la volonté exprimée par les différents acteurs de la région de Casablanca-Settat pour créer un pôle régional social numérique en s'appuyant sur les composantes disponibles afin de les valoriser et les renforcer avec un nouveau système informatique en vue d'assurer le suivi des projets sociaux et avoir des impacts positifs sur les groupes ciblés.
Pour sa part, le wali de la région de Casablanca-Settat, Said Ahmidouch, a appelé tous les acteurs présents lors de cette rencontre à un partage de visions sur les programmes du ministère, en tenant compte des attentes et des aspirations des populations.
M. Ahmidouch a également rappelé les différents projets et les réalisations accomplies au niveau régional comme contribution à concrétiser les objectifs du nouveau modèle de développement et afin de renforcer la cohésion et les liens sociaux en harmonie avec l'esprit de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH).
Il a, en outre, relevé l'importance de la convergence pour assurer la réussite et l'efficacité des projets, ajoutant que la réalisation des objectifs fixés nécessite l'accompagnement et le soutien des associations.
De son coté, le président du conseil de la région de Casablanca-Settat, Abdellatif Maazouz, a souligné que l'une des missions de la région consiste à œuvrer pour la réduction des disparités spatiales sociales à travers des programmes divers.
Il a rappelé que durant la période 2018-2022, un budget d'environ 3,5 milliards de dirhams a été consacré à la réalisation de cet objectif (réduction des disparités) par les différents intervenants et la région a contribué à hauteur de 1,4 milliard de dhs, notant qu'une partie des projets achevés ont été réalisés en coopération avec plusieurs ministères et concernent notamment l'extension des canalisations d'eau potable, l'électrification et le désenclavement du monde rural, les prestations de santé, l'enseignement et le soutien des jeunes pour leur intégration dans le marché du travail.
Concernant l'accord-cadre qui a été signé lors de cette rencontre, M. Maazouz a précisé que cet accord prévoit notamment l'accompagnement d'environ 3000 jeunes en situation de vulnérabilité en vue de les aider à créer des entreprises personnelles.
Il est à souligner que cette rencontre vise notamment à recueillir les propositions de tous les intervenants dans les questions sociales afin d'interagir et d'engager une réflexion collective pour donner une impulsion qualitative aux programmes sociaux à caractère régional.
Rappelant les grands axes de cette stratégie, la ministre a indiqué que la vision initiale de celle-ci est basée sur les principes du nouveau modèle de développement lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et qui a établi que la réduction des disparités sociales passe notamment par la lutte contre les disparités territoriales, de même qu'il a insisté sur l'égalité des chances, le renforcement des capacités de l'élément humain, la valorisation de la cohésion et des liens sociaux.
Mme Hayar a également indiqué que cette stratégie a adopté une approche participative, la convergence et la digitalisation avec pour objectifs d'élargir le nombre de bénéficiaires et de faciliter l'accès aux services sociaux, saluant la volonté exprimée par les différents acteurs de la région de Casablanca-Settat pour créer un pôle régional social numérique en s'appuyant sur les composantes disponibles afin de les valoriser et les renforcer avec un nouveau système informatique en vue d'assurer le suivi des projets sociaux et avoir des impacts positifs sur les groupes ciblés.
Pour sa part, le wali de la région de Casablanca-Settat, Said Ahmidouch, a appelé tous les acteurs présents lors de cette rencontre à un partage de visions sur les programmes du ministère, en tenant compte des attentes et des aspirations des populations.
M. Ahmidouch a également rappelé les différents projets et les réalisations accomplies au niveau régional comme contribution à concrétiser les objectifs du nouveau modèle de développement et afin de renforcer la cohésion et les liens sociaux en harmonie avec l'esprit de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH).
Il a, en outre, relevé l'importance de la convergence pour assurer la réussite et l'efficacité des projets, ajoutant que la réalisation des objectifs fixés nécessite l'accompagnement et le soutien des associations.
De son coté, le président du conseil de la région de Casablanca-Settat, Abdellatif Maazouz, a souligné que l'une des missions de la région consiste à œuvrer pour la réduction des disparités spatiales sociales à travers des programmes divers.
Il a rappelé que durant la période 2018-2022, un budget d'environ 3,5 milliards de dirhams a été consacré à la réalisation de cet objectif (réduction des disparités) par les différents intervenants et la région a contribué à hauteur de 1,4 milliard de dhs, notant qu'une partie des projets achevés ont été réalisés en coopération avec plusieurs ministères et concernent notamment l'extension des canalisations d'eau potable, l'électrification et le désenclavement du monde rural, les prestations de santé, l'enseignement et le soutien des jeunes pour leur intégration dans le marché du travail.
Concernant l'accord-cadre qui a été signé lors de cette rencontre, M. Maazouz a précisé que cet accord prévoit notamment l'accompagnement d'environ 3000 jeunes en situation de vulnérabilité en vue de les aider à créer des entreprises personnelles.
Il est à souligner que cette rencontre vise notamment à recueillir les propositions de tous les intervenants dans les questions sociales afin d'interagir et d'engager une réflexion collective pour donner une impulsion qualitative aux programmes sociaux à caractère régional.