Conscients de la nécessité de renforcer leur coordination mutuelles, les deux parties ont signé, mercredi, deux accords de coopération qui visent à « développer une pratique de contrôle ayant plus d'impact et d'efficacité et qui puisse contribuer à rehausser la qualité des services publics et répondre ainsi aux aspirations et attentes des citoyens », indique la juridiction.
Le premier accord se rapportant au département de l'Economie et des Finances, vise à développer un cadre de travail pour l'amélioration des mécanismes de production d'informations et de données relatives aux finances publiques et réduire les délais de leur communication, « en raison de l'intérêt que présentent ces informations financières, précises et fiables, pour l'exercice des missions de contrôle des juridictions financières et le renforcement de leur rôle dans l'amélioration de la performance des organismes publics et de la bonne gouvernance du secteur public en général », souligne la Cour des comptes.
Cet accord vise également à œuvrer à l’amélioration des méthodes et modalités de production des comptes et d’accompagner le projet de dématérialisation du processus de production des comptes et des pièces comptables, ainsi que de poser les bases requises pour l'exercice de la mission de certification des comptes de l'Etat, prévue par la loi organique relative à la loi de finances.
S’agissant du second accord relatif au département de la Réforme de l'administration, il s'inscrit également dans le cadre de la politique d'ouverture poursuivie par la Cour des Comptes avec les différents acteurs et parties prenantes. L’objectif est d'assurer la mise en œuvre des différents chantiers et réformes dans les domaines de la simplification des procédures et des démarches administratives, de l'amélioration des services publics, de l'accompagnement de la déconcentration administrative et du développement de l'administration numérique.
Le premier accord se rapportant au département de l'Economie et des Finances, vise à développer un cadre de travail pour l'amélioration des mécanismes de production d'informations et de données relatives aux finances publiques et réduire les délais de leur communication, « en raison de l'intérêt que présentent ces informations financières, précises et fiables, pour l'exercice des missions de contrôle des juridictions financières et le renforcement de leur rôle dans l'amélioration de la performance des organismes publics et de la bonne gouvernance du secteur public en général », souligne la Cour des comptes.
Cet accord vise également à œuvrer à l’amélioration des méthodes et modalités de production des comptes et d’accompagner le projet de dématérialisation du processus de production des comptes et des pièces comptables, ainsi que de poser les bases requises pour l'exercice de la mission de certification des comptes de l'Etat, prévue par la loi organique relative à la loi de finances.
S’agissant du second accord relatif au département de la Réforme de l'administration, il s'inscrit également dans le cadre de la politique d'ouverture poursuivie par la Cour des Comptes avec les différents acteurs et parties prenantes. L’objectif est d'assurer la mise en œuvre des différents chantiers et réformes dans les domaines de la simplification des procédures et des démarches administratives, de l'amélioration des services publics, de l'accompagnement de la déconcentration administrative et du développement de l'administration numérique.