Le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a rendu public, son rapport annuel sur la situation des droits de l’Homme au Maroc pour l’année 2019. Intitulé «Efficacité des droits de l’Homme au sein d’un modèle émergent des libertés», le rapport étale sur 82 pages différentes problématiques comme la liberté d’expression, ou encore, la torture dans les prisons. Revue des principaux points à retenir.
Le rapport de 82 pages comprend sept chapitres: protection des droits de l’Homme, promotion des droits de l’Homme, relations avec le Parlement, médias et droits de l’Homme, coopération et relations internationales, suivi de la mise en oeuvre des recommandations de l’Instance équité et réconciliation et mécanismes nationaux pour renforcer les droits de l’Homme.
L’instance présidée par Amina Bouayach livre 30 recommandations destinées principalement aux autorités publiques. L’une des principales est, que le Royaume rejoigne les derniers pactes internationaux relatifs aux droits de l’Homme. Il est également appelé à renforcer les efforts et les initiatives qui garantissent aux citoyens la jouissance de leurs droits économiques, sociaux, culturels et environnementaux.
Le rapport de 82 pages comprend sept chapitres: protection des droits de l’Homme, promotion des droits de l’Homme, relations avec le Parlement, médias et droits de l’Homme, coopération et relations internationales, suivi de la mise en oeuvre des recommandations de l’Instance équité et réconciliation et mécanismes nationaux pour renforcer les droits de l’Homme.
L’instance présidée par Amina Bouayach livre 30 recommandations destinées principalement aux autorités publiques. L’une des principales est, que le Royaume rejoigne les derniers pactes internationaux relatifs aux droits de l’Homme. Il est également appelé à renforcer les efforts et les initiatives qui garantissent aux citoyens la jouissance de leurs droits économiques, sociaux, culturels et environnementaux.
Le défi des démocraties émergentes
Le CNDH met l’accent sur la montée des condamnations liées aux droits et libertés. Concernant la liberté de la presse, l’instance conseille de ne pas interroger les sources médiatiques sauf dans certains cas. Dans ce sens, elle appelle également à l’adoption de politiques garantissant un accès transparent à l’information.Des poursuites se sont étendues à plusieurs internautes, sur la base de statuts, de commentaires ou de relais de vidéos. Le CNDH recommande, dans ce sens, de modifier toutes les dispositions du droit pénal relatives à la liberté d’expression, de manière à les conformer à l’article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Elle appelle également à l’ouverture d’un débat public sur «la liberté d’expression, d’opinion et de la presse» avec la participation de tous les acteurs concernés.
La présidente du CNDH, Amina Bouayach, a déclaré que l’élargissement du champ des libertés a toujours été une demande pour les citoyens et constitue le plus grand défi des «nos démocraties émergentes».
Elle a noté que l’un des principaux objectifs du rapport était de présenter des informations authentiques au lecteur, puis d’évaluer les progrès accomplis par le pays en matière de droits de l’homme. La présidente a conclu que le conseil ne manquera aucune occasion de souligner qu’il n’existe aucune exception à la légitimité, à l’égalité et à la prévention de la discrimination au Maroc.
La présidente du CNDH, Amina Bouayach, a déclaré que l’élargissement du champ des libertés a toujours été une demande pour les citoyens et constitue le plus grand défi des «nos démocraties émergentes».
Elle a noté que l’un des principaux objectifs du rapport était de présenter des informations authentiques au lecteur, puis d’évaluer les progrès accomplis par le pays en matière de droits de l’homme. La présidente a conclu que le conseil ne manquera aucune occasion de souligner qu’il n’existe aucune exception à la légitimité, à l’égalité et à la prévention de la discrimination au Maroc.
Hajar LEBABI