En application de la loi relative à l’Ordre national du médecin publiée en 2013, ce projet de décret vise à déterminer les obligations des médecins, leurs relations avec les patients et avec les autres professionnels de la santé. En effet, ce décret portant code de la déontologie des médecins exige aux praticiens de soigner leur écriture et met ainsi fin à ces ‘’messages codés’’ que seuls les pharmaciens sont en mesure de déchiffrer.
Dans ce sens, l’article 39 dudit code stipule que «le médecin doit prescrire avec un niveau suffisant de clarté le médicament pour les patients avec une écriture lisible tout en veillant à ce que le malade et son entourage puissent le comprendre». Cette décision sera capable de diminuer la marge d’erreur lors de la lecture des prescriptions médicales et éviter toute éventuelle tragédie résultant d’une ordonnance illisible. Il est à noter que selon un rapport diffusé par le Medical Institute de Washington, la désagréable écriture des médecins cause près de 7000 décès chaque année dans le monde. Par ailleurs, les médecins utilisent, dans plusieurs pays du monde, des logiciels informatiques, ce qui permet d’avoir des ordonnances imprimées avec une calligraphie parfaitement accessible et lisible pour tout le monde.
En outre, le décret publié au Bulletin officiel revoit en quelque sorte la relation patient-soignant. Dans ce sens, Il sera ‘’interdit aux médecins de proposer des solutions ou procédés aux patients dans le but de maximiser le profit.’’ Sur ce plan également, des patients se voient proposer, dans des rares cas, des compléments alimentaires ou des régimes nutritionnels payants pour garder la ligne ou perdre du poids tout simplement. Ainsi, l’article 34 du code dispose que «l’exercice de la médecine est incompatible avec n’importe quelle autre activité remettant en cause l’indépendance du médecin ou sa dignité.»
Parmi les autres dispositions de ce décret, Il sera interdit pour un médecin «d’exercer un autre métier, activité ou profession en dehors de la médecine dans le but d’augmenter ses gains, sur la base de ses conseils, ses ordonnances ou bien ses consultations d’ordre professionnel». Il faut préciser que le Conseil de gouvernement avait adopté en mai dernier un projet de décret relatif au Code de déontologie des médecins. Il s’agit du décret qui a été élaboré en collaboration avec l’Ordre national des médecins du Maroc dans le cadre de la mise en œuvre de l’article 2 de la loi 08.12 relative audit Ordre. Ce texte comprend des dispositions visant à déterminer de manière générale les obligations des médecins, leurs relations avec les patients et les rapports entre médecins ainsi qu’entre les médecins et les autres professionnels de la santé. De même, ce décret tend à déterminer la relation du médecin avec l’Ordre national et ses organes ainsi que les règles déontologiques et professionnelles inhérentes à certaines formes d’exercice de la profession, notamment la médecine du travail, de contrôle et d’expertise. Il faut préciser que le gouvernement a pris plusieurs mesures destinées à accompagner les grands chantiers en cours visant notamment à atteindre une couverture médicale universelle dans les deux prochaines années.
Dans ce sens, l’article 39 dudit code stipule que «le médecin doit prescrire avec un niveau suffisant de clarté le médicament pour les patients avec une écriture lisible tout en veillant à ce que le malade et son entourage puissent le comprendre». Cette décision sera capable de diminuer la marge d’erreur lors de la lecture des prescriptions médicales et éviter toute éventuelle tragédie résultant d’une ordonnance illisible. Il est à noter que selon un rapport diffusé par le Medical Institute de Washington, la désagréable écriture des médecins cause près de 7000 décès chaque année dans le monde. Par ailleurs, les médecins utilisent, dans plusieurs pays du monde, des logiciels informatiques, ce qui permet d’avoir des ordonnances imprimées avec une calligraphie parfaitement accessible et lisible pour tout le monde.
En outre, le décret publié au Bulletin officiel revoit en quelque sorte la relation patient-soignant. Dans ce sens, Il sera ‘’interdit aux médecins de proposer des solutions ou procédés aux patients dans le but de maximiser le profit.’’ Sur ce plan également, des patients se voient proposer, dans des rares cas, des compléments alimentaires ou des régimes nutritionnels payants pour garder la ligne ou perdre du poids tout simplement. Ainsi, l’article 34 du code dispose que «l’exercice de la médecine est incompatible avec n’importe quelle autre activité remettant en cause l’indépendance du médecin ou sa dignité.»
Parmi les autres dispositions de ce décret, Il sera interdit pour un médecin «d’exercer un autre métier, activité ou profession en dehors de la médecine dans le but d’augmenter ses gains, sur la base de ses conseils, ses ordonnances ou bien ses consultations d’ordre professionnel». Il faut préciser que le Conseil de gouvernement avait adopté en mai dernier un projet de décret relatif au Code de déontologie des médecins. Il s’agit du décret qui a été élaboré en collaboration avec l’Ordre national des médecins du Maroc dans le cadre de la mise en œuvre de l’article 2 de la loi 08.12 relative audit Ordre. Ce texte comprend des dispositions visant à déterminer de manière générale les obligations des médecins, leurs relations avec les patients et les rapports entre médecins ainsi qu’entre les médecins et les autres professionnels de la santé. De même, ce décret tend à déterminer la relation du médecin avec l’Ordre national et ses organes ainsi que les règles déontologiques et professionnelles inhérentes à certaines formes d’exercice de la profession, notamment la médecine du travail, de contrôle et d’expertise. Il faut préciser que le gouvernement a pris plusieurs mesures destinées à accompagner les grands chantiers en cours visant notamment à atteindre une couverture médicale universelle dans les deux prochaines années.