Il s’agit de portraits de Jeanne Moreau, célèbre actrice, chanteuse et réalisatrice française, et de Boris Vian, écrivain, poète, parolier, chanteur et critique musical français.
En bichromie jaune or et rouge vermillon sur fond noir, dans une technique inédite et une stylistique propre à lui, Mustapha Saha, propose au public initié de venir découvrir ses récentes créations.
«Les deux portraits de Jeanne Moreau et de Boris Vian que j’expose actuellement sont liés à ma propre histoire. Jeanne Moreau était une amie », a confié Mustapha Saha.
« En ce qui concerne Boris Vian, en mai 68, j’avais en permanence un de ses livres dans ma sacoche, je m’inspirais de ses formules pour bricoler des slogans comme je l’évoque dans mon texte «La trompette philosophique de Boris Vian» ».
Ce sociologue à la curiosité bien aiguisée, qui porte un intérêt pour le monde qui l’entoure, partage ces récentes créations dans le cadre de «Paris Pop Up Art Collective», une exposition collective d’artistes de différentes disciplines et générations, regroupant Mike Sylla, artiste pluridisciplinaire, Agnès Malterre, céramiste et amoureuse du Maroc particulièrement la ville d’Essaouira où elle a élu domicile et les peintres Frédérique Chunga, Sébastien Ada’m N’Diaye, Agnès Coudrau et Sylo James.
Parmi ces créateurs se distingue tout particulièrement Mike Sylla, couturier, styliste et designer, dont les créations sont portées par plusieurs célébrités à travers le monde.
Par le biais de la peinture et de l’Art vivant, il crée le concept Baïfall Dream : la mode qui porte l’Art, avec un génie de façonner le cuir et le daim, deux matières nobles.
C’est d’ailleurs ce concept de Baïfall Dream qui a suscité l’intérêt de Mustapha Saha, le poussant à explorer une possible collaboration avec Mike Sylla: voir un de ses portraits reproduit dans une création de l’artiste sénégalais et pourquoi pas monter une exposition ensemble à Paris et au Maroc.
Une proposition accueillie favorablement par Mike Sylla, plusieurs fois primé pour ses créations y compris au Maroc où il a reçu un Awards lors de la 3ème édition du Festival International de la mode de Casablanca en 2019.
Mais les projets de Mustapha Saha, créateur bouillonnant, ne s’arrêtent pas là. Il planche sur la mise en place à la Bibliothèque nationale du Royaume à Rabat d’un espace « peinture », qu’il souhaiterait baptiser « le Panthéon » et où pourraient être accrochés des portraits d’artistes-peintres, d’écrivains, d’intellectuels…Une façon de consigner pour les générations futures les noms de ces créateurs qui ont enrichi par leur legs la culture marocaine reconnue à l’échelle mondiale.
Le travail philosophique, poétique, artistique de Mustapha Saha reflète les paradoxalités complétives de son appétence créative. Il est le cofondateur du Mouvement du 22 mars à la Faculté de Nanterre et figure historique de mai 68. Il réalise, sous la direction d’Henri Lefebvre, ses thèses de sociologie urbaine (Psychopathologie sociale en milieu urbain désintégré) et de psychopathologie sociale (Psychopathologie sociale des populations déracinées), fonde la discipline Psychopathologie urbaine, et accomplit des études parallèles en beaux-arts.
En bichromie jaune or et rouge vermillon sur fond noir, dans une technique inédite et une stylistique propre à lui, Mustapha Saha, propose au public initié de venir découvrir ses récentes créations.
«Les deux portraits de Jeanne Moreau et de Boris Vian que j’expose actuellement sont liés à ma propre histoire. Jeanne Moreau était une amie », a confié Mustapha Saha.
« En ce qui concerne Boris Vian, en mai 68, j’avais en permanence un de ses livres dans ma sacoche, je m’inspirais de ses formules pour bricoler des slogans comme je l’évoque dans mon texte «La trompette philosophique de Boris Vian» ».
Ce sociologue à la curiosité bien aiguisée, qui porte un intérêt pour le monde qui l’entoure, partage ces récentes créations dans le cadre de «Paris Pop Up Art Collective», une exposition collective d’artistes de différentes disciplines et générations, regroupant Mike Sylla, artiste pluridisciplinaire, Agnès Malterre, céramiste et amoureuse du Maroc particulièrement la ville d’Essaouira où elle a élu domicile et les peintres Frédérique Chunga, Sébastien Ada’m N’Diaye, Agnès Coudrau et Sylo James.
Parmi ces créateurs se distingue tout particulièrement Mike Sylla, couturier, styliste et designer, dont les créations sont portées par plusieurs célébrités à travers le monde.
Par le biais de la peinture et de l’Art vivant, il crée le concept Baïfall Dream : la mode qui porte l’Art, avec un génie de façonner le cuir et le daim, deux matières nobles.
C’est d’ailleurs ce concept de Baïfall Dream qui a suscité l’intérêt de Mustapha Saha, le poussant à explorer une possible collaboration avec Mike Sylla: voir un de ses portraits reproduit dans une création de l’artiste sénégalais et pourquoi pas monter une exposition ensemble à Paris et au Maroc.
Une proposition accueillie favorablement par Mike Sylla, plusieurs fois primé pour ses créations y compris au Maroc où il a reçu un Awards lors de la 3ème édition du Festival International de la mode de Casablanca en 2019.
Mais les projets de Mustapha Saha, créateur bouillonnant, ne s’arrêtent pas là. Il planche sur la mise en place à la Bibliothèque nationale du Royaume à Rabat d’un espace « peinture », qu’il souhaiterait baptiser « le Panthéon » et où pourraient être accrochés des portraits d’artistes-peintres, d’écrivains, d’intellectuels…Une façon de consigner pour les générations futures les noms de ces créateurs qui ont enrichi par leur legs la culture marocaine reconnue à l’échelle mondiale.
Le travail philosophique, poétique, artistique de Mustapha Saha reflète les paradoxalités complétives de son appétence créative. Il est le cofondateur du Mouvement du 22 mars à la Faculté de Nanterre et figure historique de mai 68. Il réalise, sous la direction d’Henri Lefebvre, ses thèses de sociologie urbaine (Psychopathologie sociale en milieu urbain désintégré) et de psychopathologie sociale (Psychopathologie sociale des populations déracinées), fonde la discipline Psychopathologie urbaine, et accomplit des études parallèles en beaux-arts.
M.S