Lors de cette rencontre initiée par la Commission régionale des droits de l’Homme (CRDH) de Laâyoune-Sakia El Hamra, en partenariat avec la wilaya de la région, le Conseil régional et la commune d’El Marsa, sous le thème «Le droit à la ville: une ville inclusive et durable, une ville digne de ses habitants», les intervenants ont été unanimes à sensibiliser les différents acteurs à l’importance de la prise en considération de la dimension des droits de l’Homme dans les différentes politiques urbanistiques, en vue d’améliorer la qualité de vie des citoyens.
S’exprimant à cette occasion, le président du comité permanent chargé de la promotion de la culture des droits de l’Homme et de la consolidation de la construction démocratique, Mustapha Merizak, a souligné que «la notion de ville émergente est une nouvelle donne urbaine, une notion difficile à cerner puisqu’elle dépend de la transition démographique que connaît notre pays, et des contextes politico-institutionnels et socio-culturels dans lesquels elle a émergé». Il a noté que les villes sont devenues au centre de mutations socio-économiques et culturelles profondes, lesquelles impactent directement le mode et le cadre de vie des populations.
Il a également appelé à renforcer la résilience des villes émergentes pour le vivre ensemble, de manière à les rendre aptes à relever les menaces inhérentes aux questions environnementales (risques naturels, changements climatiques et risques épidémiques), économiques (ressources fiscales, attractivité), sociales (exode rural, exclusion sociale et précarité entre autres), soulignant la nécessité d’un programme de développement durable des villes émergentes s’appuyant sur un mode de gouvernance et des mesures d’accompagnement d’ordre institutionnel, juridique, financier et d’ingénierie territoriale susceptibles de favoriser la promotion de la bonne gouvernance et l’accès aux droits et aux services de base, dans l’optique d’assurer l’intégration des villes émergentes dans le tissu national.
De son côté, le président de la CRDH de Souss-Massa, Mohamed Charef, a souligné le caractère crucial de «droit à la ville» tant au niveau urbain qu’au niveau de la gouvernance et autres volets relatifs à la culture, au patrimoine, à la mobilité, à l’environnement et aux jeunes et personnes en situation de handicap, vu les différentes mutations qu’engendre la dynamique urbaine, relevant que la croissance urbaine met en cause l’essence même de l’urbanité, comme lieu de vivre ensemble des citadins-citoyens, et que l’ampleur et la complexité des enjeux qu’elle soulève appellent à la fois à un débat clair et des mesures techniques, administratives, juridiques et sociétales à la fois préventives et appropriées.
Pour sa part, le président de la CRDH de Laâyoune-Sakia El Hamra, Taoufik Berdiji, a souligné que ce forum vise à mener une évaluation participative de l’effectivité des droits de l’Homme dans les politiques et programmes urbains, mettant l’accent sur l’importance de prendre en compte les droits des catégories vulnérables et mettre en place les mécanismes nécessaires pour s’assurer que la ville respecte les droits de tous ses habitants sur le même pied d’égalité (personnes en situation de handicap, jeunes, personnes âgées et femmes).
S’exprimant à cette occasion, le président du comité permanent chargé de la promotion de la culture des droits de l’Homme et de la consolidation de la construction démocratique, Mustapha Merizak, a souligné que «la notion de ville émergente est une nouvelle donne urbaine, une notion difficile à cerner puisqu’elle dépend de la transition démographique que connaît notre pays, et des contextes politico-institutionnels et socio-culturels dans lesquels elle a émergé». Il a noté que les villes sont devenues au centre de mutations socio-économiques et culturelles profondes, lesquelles impactent directement le mode et le cadre de vie des populations.
Il a également appelé à renforcer la résilience des villes émergentes pour le vivre ensemble, de manière à les rendre aptes à relever les menaces inhérentes aux questions environnementales (risques naturels, changements climatiques et risques épidémiques), économiques (ressources fiscales, attractivité), sociales (exode rural, exclusion sociale et précarité entre autres), soulignant la nécessité d’un programme de développement durable des villes émergentes s’appuyant sur un mode de gouvernance et des mesures d’accompagnement d’ordre institutionnel, juridique, financier et d’ingénierie territoriale susceptibles de favoriser la promotion de la bonne gouvernance et l’accès aux droits et aux services de base, dans l’optique d’assurer l’intégration des villes émergentes dans le tissu national.
De son côté, le président de la CRDH de Souss-Massa, Mohamed Charef, a souligné le caractère crucial de «droit à la ville» tant au niveau urbain qu’au niveau de la gouvernance et autres volets relatifs à la culture, au patrimoine, à la mobilité, à l’environnement et aux jeunes et personnes en situation de handicap, vu les différentes mutations qu’engendre la dynamique urbaine, relevant que la croissance urbaine met en cause l’essence même de l’urbanité, comme lieu de vivre ensemble des citadins-citoyens, et que l’ampleur et la complexité des enjeux qu’elle soulève appellent à la fois à un débat clair et des mesures techniques, administratives, juridiques et sociétales à la fois préventives et appropriées.
Pour sa part, le président de la CRDH de Laâyoune-Sakia El Hamra, Taoufik Berdiji, a souligné que ce forum vise à mener une évaluation participative de l’effectivité des droits de l’Homme dans les politiques et programmes urbains, mettant l’accent sur l’importance de prendre en compte les droits des catégories vulnérables et mettre en place les mécanismes nécessaires pour s’assurer que la ville respecte les droits de tous ses habitants sur le même pied d’égalité (personnes en situation de handicap, jeunes, personnes âgées et femmes).