Ont pris part à cette réunion de travail, le Wali de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Mohamed Mhidia, le président du Conseil régional, Omar Moro, le président de la Chambre régionale d'Agriculture, le directeur général de MEDZ, le représentant du Crédit agricole du Maroc (CAM), les présidents d'instances élues provinciales et locales, des représentants des instances professionnelles et des associations des filières de production dans la région.
Intervenant lors de cette rencontre, organisée sous le thème "l'Agropole du Loukkos, un levier de soutien aux investissements pour valoriser les produits agricoles et améliorer la qualité", M. Sadiki a souligné que ce projet économique qualitatif s'inscrit en droite ligne avec les Hautes orientations royales visant à faire du secteur agricole l'une des principales locomotives de l'économie nationale, et à restructurer les filières de production dans la région, qui constitue l'une des zones agricoles importantes du Royaume.
Ce projet pilote constitue l'un des piliers de la mise en œuvre de la stratégie Génération Green 2020-2030, lancée par SM le Roi en février 2020. Il permettra de surmonter deux problématiques importantes auxquelles fait face le secteur agricole, à savoir la commercialisation et la valorisation des moyens de production, a fait savoir le ministre.
Pour sa part, M. Baraka a indiqué que le projet de l'agropole du Loukkos contribue au renforcement de la régionalisation avancée et à la mise en place de pôles intégrés de développement provinciaux et régionaux, en plus des opportunités d'emploi qu'il offre et sa participation à la réduction des inégalités spatiales.
Le ministre istiqlalien a assuré que ce projet pilote permet non seulement de réunir les conditions d'un développement durable et équilibré dans la province de Larache et la région, mais il s'agit d'un projet national qui contribue à renforcer le développement du pays, à travers des stratégies structurantes et claires, notant qu’il contribue à la réalisation de la souveraineté économique du Maroc et de l'équilibre alimentaire, agricole et hydrique, et permet d'ouvrir des horizons clairs dans le domaine de l'industrialisation et de la valorisation des produits agricoles.
Il a affirmé que la région dispose de tous les atouts nécessaires à la réussite du projet, notamment l'emplacement géographique important, la qualité des infrastructures routières, portuaires et hydrauliques, la main-d'œuvre hautement qualifiée et les ressources hydrauliques, qui doivent être utilisées de manière rationnelle et efficace.
De son côté, M. Mezzour a souligné que l'agropole du Loukkos, qui constitue l'un des projets de nouvelle génération et l'un des projets économiques importants, contribuera à la réalisation de l'essor industriel souhaité, à travers la valorisation des produits agricoles dont regorge la région.
Il a fait observer que la réussite de ce projet requiert la fédération des efforts de tous les intervenants, dont les institutionnels, les instances élues, les chambres professionnelles et le secteur privé, pour lequel l'Etat a mobilisé tous les moyens et les infrastructures nécessaires à la mise en œuvre des projets qualitatifs à fort impact sur les territoires concernés.
Quant à M. Mhidia, il a souligné que ce projet n'aurait pas vu le jour sans les efforts déployés par toutes les parties prenantes et les différents partenaires, relevant que ce projet intégré donnera une forte impulsion à l'investissement dans les domaines agricole et industriel, notamment les industries alimentaires, le transport, la logistique et les autres activités connexes.
Intervenant lors de cette rencontre, organisée sous le thème "l'Agropole du Loukkos, un levier de soutien aux investissements pour valoriser les produits agricoles et améliorer la qualité", M. Sadiki a souligné que ce projet économique qualitatif s'inscrit en droite ligne avec les Hautes orientations royales visant à faire du secteur agricole l'une des principales locomotives de l'économie nationale, et à restructurer les filières de production dans la région, qui constitue l'une des zones agricoles importantes du Royaume.
Ce projet pilote constitue l'un des piliers de la mise en œuvre de la stratégie Génération Green 2020-2030, lancée par SM le Roi en février 2020. Il permettra de surmonter deux problématiques importantes auxquelles fait face le secteur agricole, à savoir la commercialisation et la valorisation des moyens de production, a fait savoir le ministre.
Pour sa part, M. Baraka a indiqué que le projet de l'agropole du Loukkos contribue au renforcement de la régionalisation avancée et à la mise en place de pôles intégrés de développement provinciaux et régionaux, en plus des opportunités d'emploi qu'il offre et sa participation à la réduction des inégalités spatiales.
Le ministre istiqlalien a assuré que ce projet pilote permet non seulement de réunir les conditions d'un développement durable et équilibré dans la province de Larache et la région, mais il s'agit d'un projet national qui contribue à renforcer le développement du pays, à travers des stratégies structurantes et claires, notant qu’il contribue à la réalisation de la souveraineté économique du Maroc et de l'équilibre alimentaire, agricole et hydrique, et permet d'ouvrir des horizons clairs dans le domaine de l'industrialisation et de la valorisation des produits agricoles.
Il a affirmé que la région dispose de tous les atouts nécessaires à la réussite du projet, notamment l'emplacement géographique important, la qualité des infrastructures routières, portuaires et hydrauliques, la main-d'œuvre hautement qualifiée et les ressources hydrauliques, qui doivent être utilisées de manière rationnelle et efficace.
De son côté, M. Mezzour a souligné que l'agropole du Loukkos, qui constitue l'un des projets de nouvelle génération et l'un des projets économiques importants, contribuera à la réalisation de l'essor industriel souhaité, à travers la valorisation des produits agricoles dont regorge la région.
Il a fait observer que la réussite de ce projet requiert la fédération des efforts de tous les intervenants, dont les institutionnels, les instances élues, les chambres professionnelles et le secteur privé, pour lequel l'Etat a mobilisé tous les moyens et les infrastructures nécessaires à la mise en œuvre des projets qualitatifs à fort impact sur les territoires concernés.
Quant à M. Mhidia, il a souligné que ce projet n'aurait pas vu le jour sans les efforts déployés par toutes les parties prenantes et les différents partenaires, relevant que ce projet intégré donnera une forte impulsion à l'investissement dans les domaines agricole et industriel, notamment les industries alimentaires, le transport, la logistique et les autres activités connexes.