Le concept de ferme intelligente arrive au Maroc, à Larache. Une solution face au changement climatique et à la sécheresse persistante. L’événement a été officiellement lancé dernièrement à la Faculté polydisciplinaire de Larache.
Il s’agit de la première ferme intelligente marocaine dont l’inauguration a été rehaussée par la présence du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Abdellatif Miraoui, du président de l’Université Abdelmalek Essaâdi, Bouchta El Moumni, et du doyen de la Faculté polydisciplinaire de Larache, Mohamed Larbi Kerkeb.
Cette ferme intelligente se veut de promouvoir une agriculture durable grâce aux technologies et à l’intelligence artificielle, explique une source universitaire proche, car ajoute la même source, l’agriculture d’aujourd’hui doit en effet faire face à des contraintes importantes, alors que nous vivons un changement climatique profond et des sécheresses à répétition. Ces enjeux sont la rationalisation des ressources naturelles, l’optimisation des intrants quels qu’ils soient et la préservation de la biodiversité.
Par ailleurs, alors que le secteur agricole est généralement connu pour être à la traine dans l’adoption des nouvelles technologies, une étude récemment menée fait ressortir que les obstacles sont principalement dus à des cycles d’expérimentation longs, à des problèmes de connectivité dans les zones rurales ou encore à des contraintes météorologiques, de nutrition et de composition des sols, etc. L’amélioration de la productivité et les incitatifs financiers poussent désormais les agriculteurs à mettre en œuvre ces changements, apprend-on de la même source.
C’est pourquoi les fermes intelligentes représentent aujourd’hui le futur du monde agricole et les industriels doivent dès lors prendre les mesures nécessaires en investissant dans des technologies et processus adaptés pour répondre aux futurs besoins et attentes des agriculteurs, ajoute un professeur de la Faculté disciplinaire de Larache, notant qu’à mesure que le monde se digitalise, les fournisseurs d’équipements agricoles ne sont pas à l’abri du changement et pourraient même en tirer profit. Les constructeurs de machines agricoles peuvent au moins multiplier par quatre leurs profits grâce aux nouvelles technologies, conclut la même source.
Grâce aux nouvelles technologies telles que « Internet des Objets » ou les drones, les agriculteurs disposent désormais des outils essentiels pour surveiller et accompagner les différents stades de développement des végétaux, apprend-on des mêmes sources.
Il s’agit de la première ferme intelligente marocaine dont l’inauguration a été rehaussée par la présence du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Abdellatif Miraoui, du président de l’Université Abdelmalek Essaâdi, Bouchta El Moumni, et du doyen de la Faculté polydisciplinaire de Larache, Mohamed Larbi Kerkeb.
Cette ferme intelligente se veut de promouvoir une agriculture durable grâce aux technologies et à l’intelligence artificielle, explique une source universitaire proche, car ajoute la même source, l’agriculture d’aujourd’hui doit en effet faire face à des contraintes importantes, alors que nous vivons un changement climatique profond et des sécheresses à répétition. Ces enjeux sont la rationalisation des ressources naturelles, l’optimisation des intrants quels qu’ils soient et la préservation de la biodiversité.
Par ailleurs, alors que le secteur agricole est généralement connu pour être à la traine dans l’adoption des nouvelles technologies, une étude récemment menée fait ressortir que les obstacles sont principalement dus à des cycles d’expérimentation longs, à des problèmes de connectivité dans les zones rurales ou encore à des contraintes météorologiques, de nutrition et de composition des sols, etc. L’amélioration de la productivité et les incitatifs financiers poussent désormais les agriculteurs à mettre en œuvre ces changements, apprend-on de la même source.
C’est pourquoi les fermes intelligentes représentent aujourd’hui le futur du monde agricole et les industriels doivent dès lors prendre les mesures nécessaires en investissant dans des technologies et processus adaptés pour répondre aux futurs besoins et attentes des agriculteurs, ajoute un professeur de la Faculté disciplinaire de Larache, notant qu’à mesure que le monde se digitalise, les fournisseurs d’équipements agricoles ne sont pas à l’abri du changement et pourraient même en tirer profit. Les constructeurs de machines agricoles peuvent au moins multiplier par quatre leurs profits grâce aux nouvelles technologies, conclut la même source.
Grâce aux nouvelles technologies telles que « Internet des Objets » ou les drones, les agriculteurs disposent désormais des outils essentiels pour surveiller et accompagner les différents stades de développement des végétaux, apprend-on des mêmes sources.
Mohamed LOKHNATI
