Tout en s’attardant sur les nouvelles opportunités qu’offre la transformation numérique, notamment en matière de liberté d’expression, Akharbach a appelé les différents acteurs médiatiques à agir efficacement en faveur de la lutte contre la désinformation.
Cette lutte, qui doit être inscrite dans des politiques publiques pertinentes, pérennes et respectueuses des libertés, engage également les régulateurs, les acteurs civils et le public. « La désinformation cause des préjudices publics, au niveau de la sécurité, de la santé, du fonctionnement démocratique, de la cohésion sociale et du vivre ensemble », a-t-elle fait savoir.
A cette occasion, qui a également connu le lancement de la plateforme francophone des initiatives de lutte contre la désinformation (ODIL), la responsable a révélé qu’« on a tous vu comment l’infodémie a affecté l’action publique en matière de lutte contre la pandémie du Covid-19 en contrecarrant parfois l’adhésion du public aux politiques de santé et aux stratégies vaccinales ».
Répondant à une question sur le rôle de la HACA à ce propos, Akharbach a notamment cité la production normative du Conseil Supérieur de la Communication Audiovisuelle et les dispositions incluses dans les cahiers de charges des opérateurs éditeurs de services de radio et de télévision afin de garantir le respect de l’honnêteté et de la déontologie de l’information.
Elle a, ainsi, donné l’exemple de la recommandation relative aux élections législatives, régionales et communales, qui se sont déroulées en septembre 2021 au Maroc et qui a, pour la première fois, fait mention expresse de la lutte contre la désinformation comme point de vigilance s’imposant aux éditeurs de radio et de télévision, en vue de garantir le respect de l’honnêteté et de la déontologie de l’information.
Cette lutte, qui doit être inscrite dans des politiques publiques pertinentes, pérennes et respectueuses des libertés, engage également les régulateurs, les acteurs civils et le public. « La désinformation cause des préjudices publics, au niveau de la sécurité, de la santé, du fonctionnement démocratique, de la cohésion sociale et du vivre ensemble », a-t-elle fait savoir.
A cette occasion, qui a également connu le lancement de la plateforme francophone des initiatives de lutte contre la désinformation (ODIL), la responsable a révélé qu’« on a tous vu comment l’infodémie a affecté l’action publique en matière de lutte contre la pandémie du Covid-19 en contrecarrant parfois l’adhésion du public aux politiques de santé et aux stratégies vaccinales ».
Répondant à une question sur le rôle de la HACA à ce propos, Akharbach a notamment cité la production normative du Conseil Supérieur de la Communication Audiovisuelle et les dispositions incluses dans les cahiers de charges des opérateurs éditeurs de services de radio et de télévision afin de garantir le respect de l’honnêteté et de la déontologie de l’information.
Elle a, ainsi, donné l’exemple de la recommandation relative aux élections législatives, régionales et communales, qui se sont déroulées en septembre 2021 au Maroc et qui a, pour la première fois, fait mention expresse de la lutte contre la désinformation comme point de vigilance s’imposant aux éditeurs de radio et de télévision, en vue de garantir le respect de l’honnêteté et de la déontologie de l’information.