Depuis la dernière semaine du mois de Ramadan, plusieurs déclarations, officielles et officieuses, annonçaient un éventuel allègement des mesures restrictives durant cette semaine. Toutefois, outre la très ambiguë déclaration de l’Aid Al Fitr, alors que nous mettions sous presse, le gouvernement n’a toujours pas annoncé de décisions à cet égard, même après la tenue du Conseil de gouvernement. Le communiqué de ce dernier s’est contenté de mentionner les propos du ministre de la Santé, Khalid Ait Taleb, sur la situation épidémiologique, qui selon lui connait une évolution positive «graduelle», soulignant que cette stabilité constitue un terrain favorable pour la progression de la campagne de vaccination.
Or, grâce à l’amélioration de la situation sanitaire, une source bien informée nous a indiqué que le Comité scientifique a donné un avis favorable à l’assouplissement des restrictions, précisant que l’interdiction des déplacement nocturnes devrait être appliquée à 23h au lieu de 20h.
Un avis partagé par bon nombre d’épidémiologistes, notamment Azeddine Ibrahimi, directeur du Laboratoire de biotechnologie de la faculté de médecine de Rabat et Tayeb Hamdi, chercheur en politiques et système de Santé, qui a indiqué que suite à la maitrise de la situation épidémiologique durant plusieurs mois au Maroc et grâce à la campagne nationale de vaccination qui se déroule comme prévu, le pays pourrait «entamer, après Eid el Fitr, un allégement progressif, contrôlé et contrôlable, en toute sécurité, les mesures territoriales et les mesures restrictives, pour permettre un retour à une vie sociale, économique et commerciale plus souple, dans le cadre du plein respect des mesures préventives individuelles et collectives en attente de l'immunité collective».
Cela dit, au moment où l’Exécutif campe dans son attentisme, citoyens lambda, commerçants et opérateurs économiques, expriment leur grogne sur la nécessité de prendre des mesures en urgence pour limiter les dégâts matériels et immatériels de la pandémie.
Or, grâce à l’amélioration de la situation sanitaire, une source bien informée nous a indiqué que le Comité scientifique a donné un avis favorable à l’assouplissement des restrictions, précisant que l’interdiction des déplacement nocturnes devrait être appliquée à 23h au lieu de 20h.
Un avis partagé par bon nombre d’épidémiologistes, notamment Azeddine Ibrahimi, directeur du Laboratoire de biotechnologie de la faculté de médecine de Rabat et Tayeb Hamdi, chercheur en politiques et système de Santé, qui a indiqué que suite à la maitrise de la situation épidémiologique durant plusieurs mois au Maroc et grâce à la campagne nationale de vaccination qui se déroule comme prévu, le pays pourrait «entamer, après Eid el Fitr, un allégement progressif, contrôlé et contrôlable, en toute sécurité, les mesures territoriales et les mesures restrictives, pour permettre un retour à une vie sociale, économique et commerciale plus souple, dans le cadre du plein respect des mesures préventives individuelles et collectives en attente de l'immunité collective».
Cela dit, au moment où l’Exécutif campe dans son attentisme, citoyens lambda, commerçants et opérateurs économiques, expriment leur grogne sur la nécessité de prendre des mesures en urgence pour limiter les dégâts matériels et immatériels de la pandémie.