A l’approche des Jeux Olympiques qui se dérouleront au pays du Soleil Levant, c’est une véritable frénésie qui gagne autant les Fédérations des sports olympiques que les athlètes eux-mêmes.
Les Fédérations apportent tout le soin requis pour faciliter la tâche des athlètes qui défendront les couleurs nationales en leur octroyant les conditions adéquates pour parfaire leur préparation.
Pour leur part, les athlètes s’en donnent à coeur joie afin de se présenter dans les conditions optimales et mettre ainsi toutes les chances du succès dans leur quête aux places d’honneur ou aux trois marches du podium que représentent l’or, l’argent ou le bronze.
Afin de mettre tous les atouts dans le jeu des athlètes, le ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports (MCJS) pousse la motivation de ces athlètes jusqu’à leur miroiter des primes alléchantes pour qu’ils se surpassent. Jusque là tout va bien. Mais dans cette effervescence, le ministère perd de vue le handisport. Les sportifs invalides se sentent frustrés lorsqu’ils s’aperçoivent qu’ils sont des laissés-pour-compte. Seuls les athlètes valides bénéficient de l’attention des responsables sportifs du pays. Les personnes en situation d’handicap, eux, nul ne s’en soucie.
Et pourtant leur moisson en médailles lors des précédents Jeux Paralympiques est impressionnante. Avec le peu d’intérêt qu’on leur accorde, ils arrivent, tout de même, à sortir le grand jeu, à damer le pion à des adversaires, mieux préparés grâce des moyens colossaux. Le handisport, dans des pays qui se respectent, est traité sur le même pied d’égalité que le sport pour les valides.
Pourquoi cette politique de deux poids… ? Tous les athlètes, valides ou invalides, entrent sur des enceintes sportives, tous se dépensent pour arracher des médailles avec force, abnégation et acharnement, tous méritent d’être récompensés de la même manière. La Fédération Royale Marocaine des Sports pour Personnes en Situation d’Handicap souffre le martyre pour trouver des fonds pour la préparation des différentes manifestations nationales, continentales et internationales dans l’indifférence totale des responsables sportifs.
Une suggestion, toutefois. Pourquoi ne pas créer un Comité National Paralympique et alléger, ainsi, ce lourd fardeau que le CNOM traîne tout seul, depuis pratiquement toujours.
Les Fédérations apportent tout le soin requis pour faciliter la tâche des athlètes qui défendront les couleurs nationales en leur octroyant les conditions adéquates pour parfaire leur préparation.
Pour leur part, les athlètes s’en donnent à coeur joie afin de se présenter dans les conditions optimales et mettre ainsi toutes les chances du succès dans leur quête aux places d’honneur ou aux trois marches du podium que représentent l’or, l’argent ou le bronze.
Afin de mettre tous les atouts dans le jeu des athlètes, le ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports (MCJS) pousse la motivation de ces athlètes jusqu’à leur miroiter des primes alléchantes pour qu’ils se surpassent. Jusque là tout va bien. Mais dans cette effervescence, le ministère perd de vue le handisport. Les sportifs invalides se sentent frustrés lorsqu’ils s’aperçoivent qu’ils sont des laissés-pour-compte. Seuls les athlètes valides bénéficient de l’attention des responsables sportifs du pays. Les personnes en situation d’handicap, eux, nul ne s’en soucie.
Et pourtant leur moisson en médailles lors des précédents Jeux Paralympiques est impressionnante. Avec le peu d’intérêt qu’on leur accorde, ils arrivent, tout de même, à sortir le grand jeu, à damer le pion à des adversaires, mieux préparés grâce des moyens colossaux. Le handisport, dans des pays qui se respectent, est traité sur le même pied d’égalité que le sport pour les valides.
Pourquoi cette politique de deux poids… ? Tous les athlètes, valides ou invalides, entrent sur des enceintes sportives, tous se dépensent pour arracher des médailles avec force, abnégation et acharnement, tous méritent d’être récompensés de la même manière. La Fédération Royale Marocaine des Sports pour Personnes en Situation d’Handicap souffre le martyre pour trouver des fonds pour la préparation des différentes manifestations nationales, continentales et internationales dans l’indifférence totale des responsables sportifs.
Une suggestion, toutefois. Pourquoi ne pas créer un Comité National Paralympique et alléger, ainsi, ce lourd fardeau que le CNOM traîne tout seul, depuis pratiquement toujours.
Comité National Paralympique ?
Pourquoi, au Maroc, il n’y a pas de Comité National Paralympique ? Juridiquement parlant, il n’y a pas de vide. Des textes réglementaires encadrant la création et le fonctionnement d’un Comité National Paralympique existent. Ils prévoient la création de ce Comité National Paralympique sans aucune ambiguïté. Ils n’ont besoin ni d’interprétation ni de textes réglementaires complémentaires opérationnels. Ils sont clairs, précis, succins sans ambigüité et même détaillant la nature, la fonction, la composition, les modalités constitutives et constituantes de cette instance. Ces textes prennent pour base et source le Dahir Chérifien numéro1.58.376, du 3 Joumada 1er 1378 (15 novembre 1958) et l’ensemble des textes réglementaires accompagnant sa mise en application et son opérationnalisation.