
Le Maroc n’a jamais été aussi ciblé par la menace terroriste. Le démantèlement de la cellule des Lions de “la Khilafa au Maghreb Al Aqsa”, peu de temps après celle des trois frères à Had Soualem, montre une nouvelle fois le degré d’acharnement des groupes terroristes inféodés à Daech contre le Royaume.
Comme l’a rappelé le Directeur du Bureau central d’investigations judiciaires, la branche sahélienne de Daech tente désormais de s’installer durablement au Maroc à travers ses nombreux partisans dormants ou actifs au Maroc. Ce qui incite les services sécuritaires du pays à maintenir leur vigilance au niveau maximal, dans un contexte régional et international des plus instables et des plus inflammables. Le terrorisme international établit en effet ses quartiers généraux dans la bande sahélienne du Mali jusqu’à la corne africaine en Somalie. Profitant de l’instabilité quasi chronique des Etats de la région et du départ précipité des troupes françaises, Daech et Al Qaïda y ont ancré leur maillage après leur déclin au Moyen Orient. Nous ne sommes plus à l’époque des groupes isolés et éparpillés dans le désert. Désormais, nous sommes face à une branche de Daech plus puissante et mieux organisée que jamais avec des moyens de propagande et de recrutement plus conséquents.
Dotée d’un comité des opérations extérieures, cette branche est en capacité de “télécommander” des attentats depuis ses bases arrières aux fins fonds de zones désertiques, reculées et inaccessibles. Ce que les services marocains appellent “le téléguidage du terrorisme à distance”. Ce procédé ne cesse de prospérer au moment où les groupes terroristes développent leurs techniques de trafic d’armes dont le dépôt d’Errachidia est la preuve incontestable. Conscient de la gravité de la situation, le Maroc braque ses regards vers l’homme de l’ombre: Abderrahmane Sahraoui, l’éminence grise de Daech au Sahel qui a pris les rênes du commandement après la liquidation d’Adnane Abou Walid al-Sahraoui par l’Armée française en 2021. Peu connu, ce dernier est désormais dans le collimateur des services marocains. Sa neutralisation devient un enjeu de sécurité nationale.
Comme l’a rappelé le Directeur du Bureau central d’investigations judiciaires, la branche sahélienne de Daech tente désormais de s’installer durablement au Maroc à travers ses nombreux partisans dormants ou actifs au Maroc. Ce qui incite les services sécuritaires du pays à maintenir leur vigilance au niveau maximal, dans un contexte régional et international des plus instables et des plus inflammables. Le terrorisme international établit en effet ses quartiers généraux dans la bande sahélienne du Mali jusqu’à la corne africaine en Somalie. Profitant de l’instabilité quasi chronique des Etats de la région et du départ précipité des troupes françaises, Daech et Al Qaïda y ont ancré leur maillage après leur déclin au Moyen Orient. Nous ne sommes plus à l’époque des groupes isolés et éparpillés dans le désert. Désormais, nous sommes face à une branche de Daech plus puissante et mieux organisée que jamais avec des moyens de propagande et de recrutement plus conséquents.
Dotée d’un comité des opérations extérieures, cette branche est en capacité de “télécommander” des attentats depuis ses bases arrières aux fins fonds de zones désertiques, reculées et inaccessibles. Ce que les services marocains appellent “le téléguidage du terrorisme à distance”. Ce procédé ne cesse de prospérer au moment où les groupes terroristes développent leurs techniques de trafic d’armes dont le dépôt d’Errachidia est la preuve incontestable. Conscient de la gravité de la situation, le Maroc braque ses regards vers l’homme de l’ombre: Abderrahmane Sahraoui, l’éminence grise de Daech au Sahel qui a pris les rênes du commandement après la liquidation d’Adnane Abou Walid al-Sahraoui par l’Armée française en 2021. Peu connu, ce dernier est désormais dans le collimateur des services marocains. Sa neutralisation devient un enjeu de sécurité nationale.