SM le Roi Mohammed VI adresse un discours à la Nation à l'occasion du 45-ème anniversaire de la Marche Verte.
«Notre engagement à consolider la Marocanité du Sahara au niveau international n’a d’égal que Notre action soutenue pour que nos provinces sahraouies deviennent un moteur du développement régional et continental», a affirmé le Souverain. Ainsi, il a souligné que le moment est venu de mettre en valeur les nombreuses potentialités que recèle le domaine maritime des provinces du sud du Royaume, et ce, afin de parachever les grands projets en cours de réalisation dans ces provinces.
SM le Roi a rappelé, à cet égard, qu’au cours de l’année 2020, et en totale conformité avec les principes du droit international, «le Maroc a mené à terme la délimitation de ses espaces maritimes, en les incorporant dans l’arsenal juridique marocain».
Un partenariat qui unit
Pragmatique et visionnaire, l'ambition royale se construit autour des potentialités réelles et de la coopération régionale et africaine, surtout avec le voisinage immédiat de sorte à consolider la place du Sahara marocain comme une zone de projection vers la profondeur africaine.
C'est la quintessence même de l'engagement du Souverain en faveur d'un dialogue constant avec l'Espagne au sujet des zones de chevauchement des eaux territoriales des deux pays amis. Ce dialogue s’inscrira dans le cadre du droit de la mer et respectera le partenariat qui les unit, loin de toute volonté unilatérale d’imposer le fait accompli, a ajouté SM le Roi.
En définissant clairement le cadre et les frontières des espaces maritimes placés sous la souveraineté du Royaume, «le plan mis en œuvre pour impulser l’essor socio-économique de la région sera indubitablement consolidé», a expliqué le Souverain.
Investir dans les espaces maritimes
Partant de cette vision, la façade atlantique Sud du Royaume, située face au Sahara marocain, constituera une interface maritime d’intégration économique et un foyer de rayonnement continental et international, a fait observer SM le Roi, notant qu’alors que Tanger-Med est reconnu comme le premier port en Afrique, le port Dakhla Atlantique contribuera à consacrer cette tendance. «Nous continuerons à œuvrer pour le développement d’une véritable économie maritime dans ces territoires que Nous chérissons tant», a dit le Souverain, affirmant que les ressources et potentialités dont regorgent les provinces du Sud, sur terre comme en mer, serviront de passerelle et de trait d’union entre le Maroc et sa profondeur africaine.
A cet égard, le Souverain a souligné qu’il importe d’investir dans les espaces maritimes, «tant pour le dessalement de l’eau de mer que pour l’exploitation des énergies renouvelables d’origine éolienne ou hydrolienne».
En parallèle, «il faut continuer à promouvoir le secteur de la pêche maritime, compte tenu de son rôle dans le développement de l’économie de la région», a ajouté SM le Roi.
S’arrêtant sur le plan Azur, Sa Majesté le Roi a souligné qu’il importe de lui «insuffler une nouvelle dynamique» pour qu’il devienne un levier stratégique au service de la relance du secteur touristique dans la région et pour que celle-ci s’affirme comme une véritable destination du tourisme balnéaire.
SM le Roi a rappelé, à cet égard, qu’au cours de l’année 2020, et en totale conformité avec les principes du droit international, «le Maroc a mené à terme la délimitation de ses espaces maritimes, en les incorporant dans l’arsenal juridique marocain».
Un partenariat qui unit
Pragmatique et visionnaire, l'ambition royale se construit autour des potentialités réelles et de la coopération régionale et africaine, surtout avec le voisinage immédiat de sorte à consolider la place du Sahara marocain comme une zone de projection vers la profondeur africaine.
C'est la quintessence même de l'engagement du Souverain en faveur d'un dialogue constant avec l'Espagne au sujet des zones de chevauchement des eaux territoriales des deux pays amis. Ce dialogue s’inscrira dans le cadre du droit de la mer et respectera le partenariat qui les unit, loin de toute volonté unilatérale d’imposer le fait accompli, a ajouté SM le Roi.
En définissant clairement le cadre et les frontières des espaces maritimes placés sous la souveraineté du Royaume, «le plan mis en œuvre pour impulser l’essor socio-économique de la région sera indubitablement consolidé», a expliqué le Souverain.
Investir dans les espaces maritimes
Partant de cette vision, la façade atlantique Sud du Royaume, située face au Sahara marocain, constituera une interface maritime d’intégration économique et un foyer de rayonnement continental et international, a fait observer SM le Roi, notant qu’alors que Tanger-Med est reconnu comme le premier port en Afrique, le port Dakhla Atlantique contribuera à consacrer cette tendance. «Nous continuerons à œuvrer pour le développement d’une véritable économie maritime dans ces territoires que Nous chérissons tant», a dit le Souverain, affirmant que les ressources et potentialités dont regorgent les provinces du Sud, sur terre comme en mer, serviront de passerelle et de trait d’union entre le Maroc et sa profondeur africaine.
A cet égard, le Souverain a souligné qu’il importe d’investir dans les espaces maritimes, «tant pour le dessalement de l’eau de mer que pour l’exploitation des énergies renouvelables d’origine éolienne ou hydrolienne».
En parallèle, «il faut continuer à promouvoir le secteur de la pêche maritime, compte tenu de son rôle dans le développement de l’économie de la région», a ajouté SM le Roi.
S’arrêtant sur le plan Azur, Sa Majesté le Roi a souligné qu’il importe de lui «insuffler une nouvelle dynamique» pour qu’il devienne un levier stratégique au service de la relance du secteur touristique dans la région et pour que celle-ci s’affirme comme une véritable destination du tourisme balnéaire.